RECUEIL GÉNÉRAL DES PROVERBES DRAMATIQUES: EN VERS ET EN PROSE, TANT IMPRIMÉS QUE MANUSCRITS.chez les Libraires qui vendent les Nouveautés, 1785 - French drama |
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abfolument affaire affez affure ainfi allez ANDRÉ auffi avez BARON BAUDIERES bian bontés BRUNON c'eft c'eſt CANDOR chaffe cher ami cheux chofe CLARICE CLÉON cœur confidération connoiffez connois Damis démain derniere diable dire DORVAL Douci DUPRÉ DURSAN Duval Ecoute Eft-ce Eft-il poffible embraffe Erafte ERASTE eſt êtes étoit fais falue fans doute favez femme fens fera feroit feul fieur fille fils foit fommes fouper gendre homme inftant ISABELLE itou j'ai j'en fuis j'nous j'ons jufte L'AVOCA L'AVOCAT chante l'efprit L'OFFICIER laiffe LISIDOR m'en Madame Mademoiſelle malheureux MARGOT MATHURINE Meffieurs ment Mlle Monfieur Monfu morbleu n'ai n'eft n'en crois rien p'tit paffe parbleu Pardine pardon parle paroît penfer perfonne PERRUQUIER PICARD plaifir POURSUIT préfent Préfident PROVERBE DRAMATIQUE puifque raifon reux RUINEAU s'eft SCENE VII TAILLEUR tems TER VIRE Tervire THIBAUT v'là vais ventrebleu veux VIRE vîte vlà voilà
Popular passages
Page 193 - ... Monfieur , vous vous trompez , & vous êtes mal informé; je ne connais point cette Ifabelle , dont j'ai feulement entendu parler comme d'une très-honnête fille. LUCIDOR. Encore une fois, mon gendre , je ne vous en veux pas de mal. Lorfque...
Page 167 - Oui , de pures bagatelles ; mon père a la-deffus des façons de penfer qui me paroiuent bien étranges ; il ne fait point de différence d'une débauchée qui a dépouillé toute honte , d'avec une perfonne vertueufe , mais foible , qui a eu le malheur de tomber dans les pièges d'un fédu<5ieut adroit.
Page 163 - CLARICE. Vaine efpérance, Eraftel ERASTE. Comment ? CLARICE. Mon père a donné fa^ parole, rien ne l'en fera départir. ERASTE. Je fuis le plus malheureux des hommes.
Page 175 - Dieu , mon gendre , ne nous faifons point d'illufions ; ma fille eft bien née, je la crois fage, vous le croyez auffi , voilà tout ce qu'il faut. Tâchons de demeurer l'un & l'autre dans cette perfuafion le plus long tems que nous pourrons , & nous ferons heureux.
Page 155 - Le scélérat sait que l'on cherche à éclaircir sa conduite, il voulait sauver sa fortune et son honneur à l'abri d'un nom qui pût en imposer; mais il n'aurait fait que vous entraîner dans sa perte.
Page 185 - VQÙS dis-je, la chofeeft claire maintenant. Vous avez l'air d'un honnête homme, vous; d'ailleurs la lettre de votre père ne me laifle aucun doute. ... Ce drôle-là eu un hardi coquin.
Page 191 - Parbleu , on ne s'en douteroit pas , à peine vous donnerois-je dix-huit ans. Morbleu , le bel âge ! & qu'il pafle vite. Mon gendre , vous vous en appercevrez. ISABELLE. Oh ! Monfieur , je vois mes belles années s'écouler ians peine.
Page 201 - Je ne vous diflimule pas que j'étois Venu dans un autre deflein : honteux de ma perfidie , je n'ofois me préfenter devant celle qui en étoit l'objet. L'intérêt m'amenoit aux pieds de Mademoifelle votre fille , je rencontre l'adorable...
Page 173 - Oui , oui , oui ; elle lui plaira , je vous en réponds , moi ; elle feroit parbleu bien difficile ; vous pouvez compter fur ma parole. Ecoute , Clarice , voilà le mari que je te donne j n'en es* tu pas contente?
Page 180 - Monfieur le difcret , nous n'en ferons pas moins bons amis. Dites un peu * il ne viendra pas , fuivant toute apparence , le pauvre cher homme ? ( A Érafte qui a l'air inquiet. ) Vous avez l'air inquiet , mon gendre , qu'avez-vous J, É RAST E. Je vous demande pardon , Monfieur.