RECUEIL GÉNÉRAL DES PROVERBES DRAMATIQUES: EN VERS ET EN PROSE, TANT IMPRIMÉS QUE MANUSCRITS.chez les Libraires qui vendent les Nouveautés, 1785 - French drama |
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ADÉLAÏDE affez affure Ah ah Ah ciel aife ainfi allez Allons ANGELIQUE auffi auroit avez BABET Baillier BARON bonne amie bonnet c'eft c'eſt CÉCILE chere chofe coëffer coëffure cœur COLETTE Comteffe COMTESSE connoiffez DARNEUIL derniere Dieu DORSIGNY DORVAL DOUBLE INCONSTANCE DUBOIS écou eft-ce Eft-il EMILIE ERASTE eſt êtes étoit fais fans favez favoir fecret fentimens fera feroit feule filence fille fils fœur foit font FONTALBANNE fouvent Frac FRONTIN fuis fujet garçon GÉRONTE GOUVERNANTE grace HENRY heureufe inftant j'ai j'en fuis JACQUES JULIE JUSTINE L'APOSEM laiffer Laiffez-moi LAVADE Lifette LISETTE LUCILE m'en Madame Mademoiſelle maîtreffe maman MANETTE MARIANNE MARQUISE Mervain fait figne Mile MIMY Mlle Monfieur muet n'eft paffe penfer pere perfonne plaifir préfente PROVERBE DRAMATIQUE raifon refpect refte rien Rofe ROSE s'eft SCENE VII tems Thérefe THERESE Treffant TREPANILLA TREPANILLAC TRESSANT vais VALERE VARENNE veux VILLEDIEU voilà vois ВАВЕТ
Popular passages
Page 21 - Certainement ; fi elle veut nous croire , elle n'obéira plus à des gens à qui elle doit commander.
Page 4 - Je me tiendrai à côté d'elle. .. Ils me regarderont... ( Elle fait différentes mines devant le miroir. ) Ils me trouveront jolie... Quand ils me feront des complimens , je ferai comme cela.
Page 233 - L'Apo. Une fonction interrompue altère toutes les autres : ne vous ai-je pas dit que la première inspection — La Ro. Oh oui ! c'est vrai au moins ; il ne regarde pas comme un autre : ce que c'est f que la médecine, pour ouvrir l'esprit ! Je n'avais rien vu de cela.
Page 16 - Elle étoit bien tenace , celle-là ; maman avoit de la confiance en elle... Nous avons eu des peines... des peines... mais à la fin nous en sommes venues à bout.
Page 85 - ... ce que c'eft qu'un porfil peut-être... fort bien , à merveille , je dis , votre tête eft là ( en mettant le doigt fur le front } je vous ferois mille cocftures , fans en manquer une. M. FRAC. Cela feroit bien long. M.TREssANTPastantque...
Page 84 - Tre/ant regards , avec attention , M. Frac. } Oh je connois M. Frac , vous n'avés pas befoin de le regarder^ il eft homme à le faire," je ne conr.ois perfonne au monde de plus ferviable.
Page 304 - RENNE. ue veut Madame ? La MARQUISE. Voilà une petite fille que je vous remets entre les mains : je vous charge de fon éducation. Mlle. La VARENNE. Ah ! Madame , que vous me faîtes MARIANNE.
Page 166 - Ce voyage précipite , que je fuis obligé de faire , pourra être de longue durée. Si vous faviez ce qu'il m'en coûte, en ce moment, pour m'éloigner de ce que j'ai de plus cher au monde ! ANGELIQUE. Ah! Valère , fur le point d'être unis pour jamais , faut-il nous fcparer?Que fais-je?
Page 180 - Le repos, je le vois, n'eft plus fait pour moi , Madame ; cependant je me retirerai , fi je vous fuis incommode. Ordonnez. ANGELIQUE. Non , Monfieur, vous ne me gênez en aucune façon : je fuis même bien aifede faire connoiiTance avec vousj mais ne me parler pas du projet deMonlieur voire oncle.
Page 170 - Paris , £ ta Lifette , tu la laifleras là comme une épingle, & tu lui donneras fon congé. DUBOIS. Ton congé ! que dis-tu? regarde-moi un peu. LISETTE. Eh bien ! quoi ? je te regarde. DUBOIS. Me prends-tu pour un papillon , parce que je fuis de toutes couleurs ? LISETTE.