Revue du Dauphine et du Vivarais: (Isère, Drôme, Hautes-Alpes, Ardèche) Recueil menuel historique, archéologique and littéraire, Volume 1Impr. Savigné., 1877 - Dauphiné (France) |
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Alpes Cottiennes année Annonay archevêque de Vienne baron beau bibliophile Bibliothèque biographie Bourg-Saint-Andéol Bressieu Briançon Chabrand chanoine chant charmant château chef chevalier chose cœur comte comte de Plélo couronne Crest d'argent D'azur d'or Dauphiné dauphinois Dieu Drôme Espic évêque famille Félicie d'Ayzac femme fille Fléchard fleurs François Marc Gorce Grenoble gueules Guillioud Hautes-Alpes historique homme j'ai Jacques Jean jeune Jeux Floraux jour JULES MADAME DUVERNHET l'abbé l'Académie des Jeux l'Ardèche l'auteur l'histoire l'Isère Lamartine lettre lion littéraire livre Louis Louis XV Lyon MADAME DUVERNHET main MATHILDE MADAME Maunoury ment Mistral Mme Félicie d'Ayzac Monsieur Montélimar mort mourut Nobilibus œuvre passé patois père Lombard pièce Pierre Plélo poème poésie poëte Ponsard premier province publié recueil reste Revue du Dauphiné Romans Rouchon Saint Saint-Barnard savant Savigné seigneur sera seul sieur Silkes sonnet Soulary Terrebasse tion titre Toulouse Tournon trouve Valence Vaschalde Victorin Fabre Vivarais Vocanson Voulte XVIIIe siècle
Popular passages
Page 401 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 522 - J'ai faim : vous qui passez, daignez me secourir. Voyez : la neige tombe, et la terre est glacée. J'ai froid : le vent se lève et l'heure est avancée, Et je n'ai rien pour me couvrir. Tandis qu'en vos palais tout flatte votre envie, A genoux sur le seuil, j'y pleure bien souvent. Donnez : peu me suffit ; je ne suis qu'un enfant ; Un petit sou me rend la vie. On m'a dit qu'à Paris je trouverais du pain ; Plusieurs ont raconté dans nos forêts lointaines Qu'ici le riche aidait le pauvre dans ses...
Page 554 - Roumanille, déjà piqué par l'abeille provençale, recueillait en ce temps-la son livre des 'Pâquerettes. A peine m'eut-il montré, dans leur nouveauté printanière, ces gentilles fleurs de pré, qu'un beau tressaillement s'empara de mon être, et je m'écriai : « Voilà l'aube que mon âme attendait pour s'éveiller à la lumière! » J'avais bien, jusque-là, lu quelque peu de provençal, mais j'étais ennuyé de voir que notre langue était toujours employée en manière de dérision.
Page 427 - Que la richesse oisive au sein des voluptés. Je te vais sur cela prouver deux vérités : L'une, que le travail, aux hommes nécessaire, Fait leur félicité plutôt que leur misère ; Et l'autre, qu'il n'est point de coupable en repos.
Page 417 - Il n'ya que les grands cœurs qui sachent combien il ya de gloire à être bon. Ne me laisse point en un désert où il n'ya aucun vestige d'homme...
Page 182 - Beethoven; un poète de vingt-cinq ans, qui, du premier jet, laisse couler de sa veine, à flots purs et mélodieux, une épopée agreste où les scènes descriptives de l'Odyssée...
Page 317 - Français fidèles, armés dans le Vivarais pour la cause de la religion et de la monarchie contre les usurpations de l'Assemblée" se disant nationale, imprimé au camp de Jalès, octobre 1790, 35 pages, Arch.
Page 252 - Après tout, c'est mettre ses conjectures à bien haut prix que d'en faire cuire un homme tout vif ». La folie est de tous les temps.
Page 184 - Seigneur, et, lorsqu'il eut reçu les derniers sacrements avec la candeur, la foi, la bonne foi des âmes simples, et que, toute la famille, nous pleurions autour du lit : — Mes enfants, nous dit-il, allons ! moi je m'en vais... et à Dieu je rends grâce pour tout ce que je lui dois : ma longue vie et mon labeur, qui a été béni. Ensuite, il m'appela et me dit : — Frédéric, quel temps fait-il? — Il pleut, mon père, répondis-je. — Eh bien! dit-il, s'il pleut, il fait beau temps pour...
Page 530 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil.