 | 1755 - 408 pages
...promettent tant de douceurs , On n'a jamais employé tant d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on...perdu l'habitude , je fens malheureufement qu'il m'eft impoflîble de la reprendre , & je laifle cette allure naturelle à ceux qui en font plus dignes que... | |
 | Voltaire - French drama - 1755 - 104 pages
...d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes , quand on lit vôtre ouvrage. Cependant, comme il ya plus de foixante ans...je fens malheureufement qu'il m'eft impoflible de la reprendre : & je laifle cette allure naturelle à ceux qui en font plus dignes que vous ÔC moi.... | |
 | Voltaire - 1755 - 72 pages
...d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quattre pattes , quand on lit vôtre ouvrage. Cependant , comme il ya plus de foixante...perdu l'habitude , je fens malheureufement qu'il m'eft impôt fible de la reprendre : & je laiflè cette allure naturelle à ceux qui en font plus dignes... | |
 | 1755 - 994 pages
...de douceurs ,. On n'a jamais employé tant d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. • . • i. Il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage; ce-* pendant comme il ya plus de foixame ans que j'en ai perdu l'habitude , je fens mal-' heureufement... | |
 | Voltaire - 1756 - 92 pages
...d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes , quand on lit vôtre ouvrage. Cependant, comme il ya 'plus de foixante...perdu l'habitude, je fens malheureufement qu'il m'eft impoffible de la reprendre : & je laifle cette allure naturelle à ceux qui en font plus dignes que... | |
 | 1756 - 500 pages
...drë bêtes. Il prend envie de marcher à qua„ tre pattes quand on lit votre ouvrage. Ce„ pendant comme il ya plus de foixante ans „ que j'en ai perdu l'habitude, je fens malheu„ reufement qu'il m'eft impoflible de la repren„ dre : & je laiflè cette allure naturelle... | |
 | Voltaire - 1757 - 726 pages
...promettent tant de douceur : on n'a jamais employé tant d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes , quand on...foixante ans que j'en ai perdu l'habitude , je fens malËeureufement qu'il m'cft impofîîble de la reprendre , & je laifTe cette allure nâtuDifcoiirs... | |
 | Voltaire - 1764 - 452 pages
...promettent tant de confolations. On n'a jamais tant employé d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes , quand on...de foixante ans que j'en ai perdu l'habitude , je ièns malheureufement qu'il m'eft impoffible de la reprendre. : & je laiflb cette allure : naturelle... | |
 | Voltaire - 1768 - 522 pages
...promettent tant de confolations. On n'a jamais tant employé d'efprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage. Cependant, comme il ya plus de fdixante ans que j'en ai perdu l'habitude, je fens malheureufement qu'il m'eft impoflîble de la reprendre... | |
 | Antoine Sabatier de Castres - Literary quarrels - 1771 - 406 pages
...tant employé d'etprit à vouloir nous rendre bêtes» Il prend envie de marcher à. quatre patte^ quand » on lit votre Ouvrage. Cependant, comme il...l'habitude', » je fens malheureufement qu'il m'eft impofïïble de » la reprendre : & je laifle cette allure naturelle à » ceux qui en font plus dignes... | |
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On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage. 
