Reflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant |
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affez agréable Ainfi Amour auffi avoit badin beau belle Bourdelot C'eft C'eſt Caton d'Utique celebre CHAPITRE chiavel chofe cœur compofer Cy gît defirs dernieres paroles Diables Dieu Dieux efprit eft mort Epicure Epigramme EPITAPHE eſt étoit fage fageffe faifoit faint fans fçai fçait fçavant fçavoir fe peut nullement fe trouva fecrets femblable femble femme fens fentimens fentir feroit fert fervir feul fiécle flateurs foible foibleffe foin foit fon caractere fonger font fous fouvent fuis fuivant fujet funefte gens goût grace helas homme j'ai jacet jour jufques l'Amour l'efprit l'hiftoire l'homme laiffe Laïs Limeuil long-tems Mademoiſelle maint maniere Medecin ment merite monde Monfieur mourir mourut n'eft n'eſt paffer paffions penfer perfonne Petrone Philofophe plaifanterie plaifir plaifirs Plaiſirs plufieurs Poëte prefque puiffe Puifque Racan Raifon refte rien Saint-Evremond Sçavans teffe tems Toton trépas trifte Trimalcion Valere Maxime verité vivoit vûë
Popular passages
Page 270 - Ce qui fait que je vous souhaite encore davantage ici, c'est que dans cette douce révolution de l'année , après le plus terrible hiver que la France ait depuis long-temps senti, les beaux jours se goûtent mieux que jamais , et sont tout autrement beaux à la campagne qu'à la ville, où, quand vous les avez, il vous manque toujours des endroits pour en prendre tout le plaisir. Je me promène depuis le matin jusqu'au soir avec tant de satisfaction et de contentement d'esprit que je ne saurois...
Page 169 - Le bon Prélat qui gît fous cette pierre , Aima le jeu plus qu'homme de la terre : Quand il mourut, il n'avoit pas un liard ; Et, comme perdre étoit chez lui coutume, S'il a gagné Paradis , on préfume Que ce doit être un grand coup de hafard (i) Hift.
Page 60 - Dis à Monseigneur l'état où tu me vois, je m'en vais chercher un grand peut-être. Il est au nid de la pie, dis-lui qu'il s'y tienne ; et pour toi, tu ne seras jamais qu'un fou : tire le rideau, la farce est jouée.
Page 287 - François a fi bien mis. Or, je vous écris pour vous dire, Après un humble grand merci D'avoir bien voulu nous écrire , Que nous ne faifons rien ici Que dormir , manger , boire & rire, Bien difputer , mieux contredire , (a) C'eft le nom d'un Dialogue que Lucien a camfofcfur VAmitii.
Page 216 - Cela se peut facilement; Mais que pour les armes d'hermine, II ait beaucoup meilleure mine, Cela ne se peut nullement.
Page 269 - Encore en avons-nous bien peu ; Car fur ma foi ce n'eft pas jeu D'en entreprendre la voiture Et qui le fait fans avanture En doit belle chandelle à Dieu. Lettre écrite de la Campagne , à Mr. de MOLIERE.
Page 275 - Ce fut à la Croix de Lorraine, Lieu propre à fe rompre le cou, Tant la montée en eft vilaine ; Sur tout quand entre Chien & Loup On en fort chantant mirdondaine. Or là nous étions bien neuvaine De gens valans tous peu ou prou, J'entens, pour expliquer mon ou, ' Moi valant peu, car la huitaine Valoit affûrement beaucoup.
Page 259 - Désirant se mortifier Et n'y faire rien que prier, Une grande église ils y firent, Et pas une cave ou grenier. Je puis dire que rien ne fume Jamais en ce funeste lieu , Et qu'on n'y voit jamais de feu Que quand aux vêpres on allume L'encensoir pour honorer Dieu. Là , de pauvres gens pâles , blêmes , Secs...
Page 182 - Je ne fçai s'il vit ou s'il dort. La Maladie Imaginaire Ne peut pas l'avoir fait mourir, C'eft un tour qu'il joue à plaifir, Car il aimoit à contrefàire ; Quoiqu'il en foit, cy git Moliere: Comme il étoit Comedien, S'il fait le mort, il le fait bien. DU MESM E. "D Ofcim hiffltus eft tr'tfii MQLIERTJS •^ t'» urna , Cui finus b»xijnum Inifere huîtn er.it.
Page 274 - A c. /""< Her Marquis, les Vers qu'au beau Maine, De l'agréable Pivangou, Fait couler ton heureufe veine , Vertu ,non de Dieu , mais de chou , Ne font pas Vers à la douzaine. . Quiconque rime ainfi fans peine Après avoir bu comme un trou , Doit avoir au moins pour...