| Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 332 pages
...l'avoue, le néant de mes chimères venait quelquefois la contrister tout-à-coup. Quand tous mes réres se seraient tournés en réalités , ils ne m'auraient pas suffi ; j'aurais imaginé , rêvé, désir» encore. Je trouvais en moi un» vide inexplicable qu« rien, n'aurait pu rcuit plir: nn certain... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...j'aurois imaginé, rêvé, desiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'auroit pu remplir, un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas d'idée , et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela même étoit... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 432 pages
...j'aurois imaginé , rêvé , désiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'auroit pu remplir, un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas d'idée , et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien , monsieur, cela même étoit... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 422 pages
...réalités , ils ne m'auroient pas suffi; j'aurois imaginé, rêvé , désiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'aurait pu remplir,...de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas l'idée, et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela même étoit jouissance,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...j'aurois imaginé, rêvé, desiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'auroit pu remplir, un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas l'idée, et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela même étoit jouissance,... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 414 pages
...j'aurois imaginé, rêvé , desiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'auroit pu remplir, un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas l'idée, et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela même étoit jouissance,... | |
| French periodicals - 1830 - 634 pages
...chimères venait me contrisler tout à coup. Quand tous mes rêves se seraient tournés en réalité , ils ne m'auraient pas suffi ; j'aurais imaginé, rêvé,...certain élancement de cœur vers une autre sorte du jouissance dont je n'avais pas d'idée , et dont pourtant je sentais le besoin. Hé bieu, monsieur,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1060 pages
...de tout cela, je l'avoue, le néant de mes chimères venait quelquefois la contristcr tout à coup. Quand tous mes rêves se seraient tournés en réalités,...j'aurais imaginé, rêvé, désiré encore. Je trouvais eu moi un vide inexplicable que rien n'aérait pu remplir, un certain élancement de cœur vers une... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...j'aurois imaginé , rêvé , désiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'auroit pu remplir , un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas d'idée , et dont pourtant je 'sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela^ même étoit... | |
| Abbé Augustin Sénac - 1837 - 392 pages
...contrister tout-à-coup : quand tousmes »rêves se seraient tournés en réalité, ils ne m'au» raient pas suffi; j'aurais imaginé, rêvé, désiré »...inexplicable » que rien n'aurait pu remplir, un certain élance» ment de cœur vers une autre sorte de jouissance » dont je n'avais pas l'idée et dont pourtant... | |
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