Mein Antheil an der Politik, Volumes 1-2Cotta, 1845 - Europe |
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Common terms and phrases
aber allen alles andern armées auch Blücher Bonaparte Bourbons Cabinets Canneman Capo d'Istria cessions choses ci-jointe Comte conquête courier damals daß den König diese diesen Dinge Duc de Wellington eben ersten Etats Fagel Feind forteresses Frankreich Freund Frieden frontières Fürst Fürsten Gagern garanties Gouvernement große großen guerre habe Hardenberg hatte hatten hernach Herr Talleyrand Herrn Herzog Humbold j'ai Jahre König l'Autriche l'Empereur l'Europe Labesnardière lich ließ Lord Castlereagh Lord Clancarty Lord Wellington Louis XVIII Luxembourg Majesté ment militaire Ministres Monarchie Monsieur le Baron Napoléon nation négociations Niederlande oder paix parceque Pays-Bas Plénipotentiaires Politik politique Preußen Prince de Hardenberg Prince de Metternich protocole Prusse Prussiens Puissances alliées question Recht Russie Sarrelouis schon ſein ſeinen Septembre 1815 sera seulement Sign sind Souverains später stand Sud de l'Allemagne système tems Theil tion traité troupes viel Vienne waren wenig werde wieder Wien wohl Wort wurde Zeit
Popular passages
Page 235 - L'un avait le génie de l'action , l'autre celui du conseil. L'un projetait tout ce qu'il y avait de grand , l'autre évitait tout ce qu'il y avait de dangereux , et la fougue créatrice de l'un pouvait être heureusement tempérée par la lenteur circonspecte de l'autre.
Page 143 - France voudraient reproduire dans les transactions actuelles la doctrine de la prétendue inviolabilité du territoire français. Ils savent trop bien que cette doctrine, mise en avant par les chefs et...
Page 166 - Nous avons assez ambitionné, nous avons assez obtenu la fatale gloire qu'on acquiert par le courage des armées et par les sanglants trophées de leurs victoires : il nous reste une meilleure gloire à acquérir; forçons les peuples, malgré le mal que l'usurpateur leur a fait, à s'affliger de celui qu'ils nous font; forçons-les à se fier à nous, à nous bien connaître, à se réconcilier franchement et pour jamais avec nous. Je vais, messieurs, vous donner lecture des deux Conventions accessoires,...
Page 158 - France vient de contracter, sont comme un résultat inévitable des circonstances extraordinaires où , par la fatalité des événemens , elle se trouve aujourd'hui placée. Dans une position différente et dans d'autres temps , nous ne présenterions à la Chambre qu'un de ces actes dont la série généralement uniforme compose le corps historique du droit public des nations ; nous nous ferions un devoir d'en discuter tous les articles, et nous aimerions à en expliquer tous les motifs : mais...
Page 25 - ... et d'agir à cet égard dans le plus parfait accord avec ses alliés, l'empereur est néanmoins convaincu que les devoirs que lui impose l'intérêt de ses sujets, ainsi que les principes qui le guident , ne lui permettraient pas de prendre l'engagement de poursuivre la guerre dans l'intention d'imposer un gouvernement à la France.
Page 109 - Paris le 30 mai 1814, ainsi que les stipulations arrêtées et signées au congrès de Vienne dans le but de compléter les dispositions de ce traité, de les garantir contre toute atteinte et particulièrement contre les desseins de Napoléon Bonaparte.
Page 393 - Russies, considérant que le repos de l'Europe est essentiellement lié à l'affermissement de cet ordre de choses, fondé sur le maintien de l'autorité royale et de la charte constitutionnelle, et voulant employer tous leurs moyens pour que la tranquillité générale, objet des vœux de l'humanité et but constant de leurs efforts, ne soit pas troublée de nouveau; désirant, en outre...
Page 163 - ... il ne nous est que trop permis de dire aux Nations étrangères qu'elles ont été dans l'erreur sur la vraie mesure des forces qu'elles avaient à combattre et que , dans le moment même où la faction faisait éclater ses fureurs, le peuple français était uni par ses...
Page 167 - Ces demandes sont certainement la partie la plus onéreuse , la plus dure et la plus pénible des stipulations que nous avons eu à discuter; et il suffit qu'on sache qu'elles ont été proposées à des Français , pour qu'on doive en conclure que la nécessité , et la nécessité la plus indispensable , a pu seule les déterminer à y souscrire.
Page 374 - Très-Chrétienne croira ne plus avoir besoin de leur présence. Nos augustes souverains, tout en répugnant à l'emploi de leurs troupes pour le maintien de la police et de l'administration intérieure du pays, ont cependant, en considération de l'intérêt majeur qui les porte à affermir le souverain légitime sur le trône de France, formellement promis au roi de le soutenir par leurs armes contre toute convulsion révolutionnaire, etc.