Romania: recueil trimestriel consacré à l'étude des langues et des littératures romanesPaul Meyer, Gaston Bruno Paulin Paris, Antoine Thomas, Mario Roques Société des amis de la Romania, 1882 - Romance literature |
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abbade Alix Alixandre aNosso Antipater aquell aquest Aragon Aristotes assy Baligant Barcelone castillan catalan ceste chansons Charlemagne Charles chiere cist cité conte cousa d'Alexandre dedens Deus Diex Diez disselhe dist duc Melcis édition Emenidus esto estoit Eufrosina filha fist forme Fuerre de Gadres fust Gandelon Ganelon Gautier de Coincy gent gran grant Guenelon Guillaume le Maréchal home hũa initiale Jean l'auteur l'édition l'épisode l'estoire langue latin logar maint maman manuscrit manuscrits Marsile moesteiro molher molt mors mort mout moyen âge padre pera pioro podia poème poète premier proverbe publié Qant quelhe quod récit rimes Rodland rois Rolland roman Roncevaux saint santo Saragosse Sardenai sera seulement signor sire Ssenhor sseu ssua Suchier syllabe texte tirade troisième branche trouve Turpin version Voyage au paradis vulles XIIIe siècle
Popular passages
Page 107 - He asks that his bed may be made, with precautions against his wife's hearing. At midnight he is dead. The wife, hearing the men-servants weeping, asks her mother-in-law the cause. The best horse [horses] has been found dead in the stable, has strayed away, etc., B, DS, GG.
Page 106 - Qui se plaignent du mal de dents. —Ah! dites, ma mère, ma mie, Ce que j'entends clouer ici? ' —Ma fille, c'est le charpentier Qui raccommode le plancher. — Ah ! dites, ma mère, ma mie, Ce que j'entends chanter ici ? — Ma fille, c'est la procession Qui fait le tour de la maison ! — Mais, dites, ma mère, ma mie, Pourquoi donc pleurez-vous ainsi ? — Hélas!
Page 16 - Fuchs, mon père, par la simple habitude de notre ancienne littérature et grâce au sens droit et mesuré qui le guidait toujours dans ses recherches, s'approcha bien plus de la vérité. Il reconnut comme le fonds essentiel des diverses branches du Renart des fables ésopiques, héritage de la littérature latine; il fit honneur à des clercs des premières versions en langue vulgaire, c'est-à-dire en langue française, de ces fables, et de la première idée d'en réunir quelquesunes, où le...
Page 99 - Ni de ma femme, ni de mon fils, je n'en ai le cœur réjoui. Ma mère, faites-moi un blanc lit, faites le lit bien en secret, que l'accouchée n'en sache rien.
Page 351 - Con armas, en guerra; en paz, con las leyes, se quieren los reynos, senyor, conservar, mas ¡guay! de la tierra do todos son reyes, do todos presumen regir e mandar. Un Dios en el cielo, un rey en la tierra, se debe por todas las gentes temer, quien esto no teme comete gran yerra, por quanto do tanta malicia se encierra, no pueden los reynos, senyor, florescer.
Page 20 - Ceux qui ouvrent des routes le font pour qu'on les parcoure et qu'on les prolonge. Le meilleur hommage que nous puissions rendre à sa mémoire, c'est de continuer son œuvre en la modifiant comme il l'aurait fait s'il l'avait trouvée à l'état d'avancement où il l'a mise, au lieu d'avoir à l'entreprendre par les fondements. L'étude de l'histoire est ce qui distingue par-dessus tout les nations civilisées de celles qui ne le sont pas. La haute...
Page 4 - ... plus longtemps ces admirables compositions, images de l'esprit, des mœurs et des croyances de nos ancêtres! Combien de fois alors n'ai-je pas mis un frein à mon enthousiasme, en me rappelant avec une sorte d'effroi l'aventure du chevalier de la Manche! Honnête don Quichotte! les romans coupables de ta folie n'étaient que de longues paraphrases décolorées Que serais-tu devenu si tu avais lu les originaux?
Page 518 - En poursuivant ces études d'analyse critique qui ne font encore que commencer, on arrivera de plus en plus à se convaincre que, pour être lointaine et anonyme, l'épopée n'est pas dans d'autres conditions que les autres produits de...
Page 13 - ... comprendre les aspects variés du talent d'Adam de la Halle, cet autre Artésien, plus jeune d'un demi-siècle, qui nous a laissé, outre des chansons dont il composait également les gracieuses paroles et la musique d'un charme parfois encore appréciable à notre oreille, une œuvre unique dans notre littérature, le Jeu de la Feuillée, mélange étonnant de fantaisie poétique, de personnalité hardie et de verve bourgeoise qui fait involontairement penser aux Chevaliers et aux Gaies commères...
Page 167 - Charles Thurot, membre de l'Institut, maître de conférences à l'École normale supérieure, directeur d'études à l'École pratique des hautes études.