Oeuvres de Fénélon, Volume 21J. A. Lebel, 1824 |
From inside the book
Results 1-5 of 51
Page 321
... compagnons : je ne pas même encore certainement ni ceux d'entre eux qui se sont sauvés , ni ceux qui ont péri . sais Nestor lui raconte ensuite l'histoire et les malheurs de beaucoup de princes grecs ; il insiste principalement sur la ...
... compagnons : je ne pas même encore certainement ni ceux d'entre eux qui se sont sauvés , ni ceux qui ont péri . sais Nestor lui raconte ensuite l'histoire et les malheurs de beaucoup de princes grecs ; il insiste principalement sur la ...
Page 329
... compagnons que j'ai laissés à Pylos s'affligent de mon absence . Pour ce qui est des présens que vous voulez me faire , souffrez , je vous en supplie , que je ne reçoive qu'un simple souvenir . Ménélas , l'entendant parler ainsi , se ...
... compagnons que j'ai laissés à Pylos s'affligent de mon absence . Pour ce qui est des présens que vous voulez me faire , souffrez , je vous en supplie , que je ne reçoive qu'un simple souvenir . Ménélas , l'entendant parler ainsi , se ...
Page 335
... compagnons périrent ; le vent et les flots le portèrent sur cette rive je l'aimois , je le nourrissois ; je voulois le rendre immortel . Mais Ju- piter sera obéi . Qu'Ulysse s'expose donc de nouveau aux périls d'où je l'ai tiré ...
... compagnons périrent ; le vent et les flots le portèrent sur cette rive je l'aimois , je le nourrissois ; je voulois le rendre immortel . Mais Ju- piter sera obéi . Qu'Ulysse s'expose donc de nouveau aux périls d'où je l'ai tiré ...
Page 367
... compagnons périrent à mes yeux . Dans ce péril je saisis une planche du débris de mon nau- frage neuf jours entiers je fus , sans la quitter , le jouet des flots irrités ; enfin le dixième , pendant l'obs- curité de la nuit , les dieux ...
... compagnons périrent à mes yeux . Dans ce péril je saisis une planche du débris de mon nau- frage neuf jours entiers je fus , sans la quitter , le jouet des flots irrités ; enfin le dixième , pendant l'obs- curité de la nuit , les dieux ...
Page 378
... compagnons d'armes tenant leur arc bandé contre moi . Le seul Philoctète me surpassoit quand nous nous exercions sous les murs de Troie ; mais je crois l'emporter sur tous les autres hommes qui sont aujourd'hui sur la terre et qui se ...
... compagnons d'armes tenant leur arc bandé contre moi . Le seul Philoctète me surpassoit quand nous nous exercions sous les murs de Troie ; mais je crois l'emporter sur tous les autres hommes qui sont aujourd'hui sur la terre et qui se ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirer Agamemnon Alcinous Antinoüs arrive auroit avez avoient avoit beau beauté c'étoit Calypso cher Ulysse choses Cicéron Circé cœur compagnons connoître Cyclope d'Ithaque DARU déesse Démodocus Démosthène Dieu dieux dire discours dit-il donner douleur éloquence enfans êtes étoient étoit Eumée Euryclée Euryloque faisoit faudroit femmes FÉNÉLON fils d'Ulysse fils de Laërte flots force goût Grecs héros heureux Homère hommes HORAT hôte Ithaque j'ai jamais jour Jupiter l'Académie l'auditeur l'Écriture l'éloquence l'esprit l'île l'orateur Laërte laisse langue Laodamas larmes long-temps main malheureux Médon Ménélas Minerve mœurs monsieur n'avoit Nausicaa Neptune Nestor orateurs palais parler paroît paroles passions patrie Pénélope pensées père persuader peuple Phéaciens Pisistrate plaisir Platon poésie poète poursuivans PRÉCIS DU LIVRE prédicateur présens prince Pylos qu'un raison répondit Ulysse rien rivage sage saint Augustin sent sentimens sermons seroit seul Socrate sort Télémaque terre teurs Tirésias touché trouve vais vaisseau vérité Voilà voudrois yeux
Popular passages
Page 210 - Odi et amo. Quare id faciam, fortasse requiris. Nescio, sed fieri sentio et excrucior.
Page 226 - En pensant bien, il parle souvent mal; il se sert des phrases les plus forcées et les moins naturelles. Térence dit en quatre mots, avec la plus élégante simplicité, ce que celui-ci ne dit qu'avec une multitude de métaphores, qui approchent du galimatias.
Page 157 - Multa renascentur, quae jam cecidere ; cadentque Quae nunc sunt in honore vocabula, si volet usus, Quem penes arbitrium est et jus et norma loquendi.
Page 176 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu.
Page 192 - Elle n'ose jamais procéder que suivant la méthode la plus scrupuleuse et la plus uniforme de la grammaire : on voit toujours venir d'abord un nominatif substantif qui mène son adjectif comme par la main ; son verbe ne manque pas de marcher derrière, suivi d'un adverbe qui ne souffre rien entre deux, et le régime appelle aussitôt un accusatif, qui ne peut jamais se déplacer. C'est ce qui exclut toute suspension de l'esprit, toute attente, toute surprise, toute variété et souvent toute magnifique...
Page 185 - La poésie est plus sérieuse et plus utile que le vulgaire ne le croit. La religion a consacré la poésie à son usage, dès l'origine du genre humain. Avant que les hommes eussent un texte d'écriture divine, les sacrés cantiques, qu'ils savaient par cœur, conservaient la mémoire de l'origine du monde, et la tradition des merveilles de Dieu.
Page 181 - Il tonne , il foudroie * ; c'est un torrent qui entraîne tout. On ne peut le critiquer, parce qu'on est saisi. On pense aux choses qu'il dit, et non à ses paroles. On le perd de vue : on n'est occupé que de Philippe qui envahit tout. Je suis charmé de ces deux orateurs; mais j'avoue que je suis moins touché de l'art infini et de la magnifique éloquence de Cicéron, que de la rapide simplicité de Démosthène.
Page 211 - Le beau qui n'est que beau, c'est-à-dire brillant, n'est beau qu'à demi : il faut qu'il exprime les passions pour les inspirer; il faut qu'il s'empare du cœur pour le tourner vers le but légitime d'un poème, VI.
Page 186 - La parole animée par les vives images, par les grandes figures, par le transport des passions et par le charme de l'harmonie, fut nommée le langage des dieux ; les peuples les plus barbares mêmes n'y ont pas été insensibles.
Page 259 - Tout est plein de fenêtres, de roses et de pointes ; la pierre semble découpée, comme du carton : tout est à jour, tout est en l'air. N'est-il pas naturel que les premiers architectes gothiques se soient flattés d'avoir surpassé par leur vain raffinement la simplicité grecque ? Changez seulement les noms ; mettez les poètes et les orateurs en la place des architectes.