Souvenirs de la Marquise de Créquy de 1710 à 1803..H.-L. Delloye, 1840 - France |
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acte advant ANNÉE ASCRES aultres avoit Baron Beauvau Blanchefort bonne Bourbon Bourbon-Montmorency Bretagne Buonaparte c'était cachot Charles Chevalier CHIMAY Choiseul ci-devant citoyen Compasseur Comte Comtesse Créquy Crouy CRUSSOL d'Harcourt Dame devise dict Dieu dire Dominus Duc de Saint-Simon Duchesse Durfort Ecuyer émigrés enfans Eques estoit étoit famille femme fils filz François François Ier frère gentilhomme héréditaires j'ai jamais jour justice l'abbé l'année l'Assemblée Nationale l'honneur ladite ledit légitime Lessart lettre Louis de Mailly Louis XV Luzignan Madame Mailly maison Majesté Maréchal marquis de Crequy Marquise MARQUISE DE CRÉQUY mesme Messieurs ministres Monsieur Montmorency Montmorin Noailles Noble noblesse Note de l'Auteur Note de l'Éditeur parler pension père personne premier présent Prince Princesse Principauté d'Orange prison RADEPONT Reigniers Reine reste Rochefoucauld Rohan royale royaume Saint sang Savoye Seigneur sieur Sire soi-disant Souverain Stettin susdites Talleyrand tion titre Trémoille trouve Vicomte Vicomtesse Vidame vouz
Popular passages
Page 158 - Roy ! Vengez le Roy ! Que toujours glorieux, Louis victorieux. Voye ses ennemis Toujours soumis Grand Dieu ! sauvez le Roy !, Grand Dieu ! vengez le Roy ! Vive le Roy...
Page 35 - ... celui de la force; nous stipulâmes que « nous resterions armés sur notre territoire, et que « nous conserverions tous les signes de ralliement « sous lesquels nous avions combattu jusqu'à ce
Page 26 - La principale force des brigands est dans le fanatisme que leurs chefs leur inspirent. Il faut les arrêter, et dissoudre ainsi d'un seul coup cette association monarchique qui nous perdra si nous ne nous hâtons pas de la prévenir. «Mais il ne faut pas perdre de vue, cher collègue, que l'opinion nous devient chaque jour plus contraire , et plus nécessaire que la force.
Page 155 - II fust dict aussy plusieurs autres choses, dans cette longue entrevue, que je ne saurois vous rapporter, attendu que j'étois si attentif à ce que Sa Majesté me faisoit l'honneur de me dire, d'une maniesre qui me touchoit également le cœur et l'esprit, et que j'étois également si attentif à lui respondre, que ma mémoyre en étoit comme suspendue. Monsieur de Bartillat estoit...
Page 37 - M. Chatellier, que les membres du soi-disant Comité de salut public cherchèrent à retenir quelques jours à Paris, afin qu'il jugeât par lui-même de la loyauté avec laquelle ils procéderaient, quitta Paris le soir même, d'après les ordres qui lui avaient été donnés d'être de retour le 7 au plus tard. Il arriva ici le 8 au matin. Nous nous disposâmes aussitôt à concerter avec les représentans du peuple les moyens d'envoyer des personnes d'une fidélité et d'une bravoure éprouvées,...
Page 46 - ... l'exacte proportion de nos « biens et facultés aux besoins et aux charges de « l'État; ne voulant nous réserver que le droit de « soulager la plus pauvre partie du peuple des im» positions qu'il était dans l'obligation d'acquitter.
Page 28 - GÉNÉRALISSIME ET DES AUTRES CHEFS DESDITES ARMÉES , AU NOM DE LOUIS XVIII, Roi DE FRANCE ET DE NAVARRE; Aux fidèles habitans du Poitou, de l'Anjou, du Maine, de la Bretagne et de la Normandie. « Nous devons à tous les Français et à « l'Europe entière, la justification, ou pour « mieux dire l'exposé de notre conduite. « Nous allons le tracer avec cette loyauté, « avec ce sentiment d'honneur et d'amour « de la patrie qui a constamment dirigé « notre conduite et animé nos efforts....
Page 57 - ... qui me serait si nécessaire ? On vous dira que si les progrès de MONSIEUR me promettent une entière sécurité , on me conduira dans mes états ; mais cela signifie uniquement que l'on me fera venir , lorsque les grands dangers seront passés.
Page 54 - ... à l'extrémité de l'île, avec deux ou trois cents gentilshommes , et le peu d'hommes restés fidèles , mais sans cartouches , n'ayant pu en obtenir que pour les gardes du fort, malgré mes instances réitérées.
Page 57 - ... appeler téméraires , parce que ceux qui les portent ne sont pas instruits de la vérité. Puis-je conquérir ainsi mon royaume ? Et , supposé que mes fidèles sujets obtiennent un tel secours que je n'aie qu'à me présenter pour recevoir...