Heyder, Azeima, Typoo-zaeb;: histoire orientale, traduite de la langue malabare,Chez Barba, Libraire, palais du Tribunat, galerie derrière le théâtre de la République, n0. 51., 1802 - India |
Contents
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Common terms and phrases
Achmed Agra amant Anglais Angria Arabes avaient Azeima Azum Banar Barcelor Bassora bientôt brames Bussi c'était cent CHAPITRE Clive cœur compagnie conseil de Calcuta côte de Coromandel côte de Malabar Crisna d'Heyder dame Débul Dekan Delhy devait dichéri dostan Dupleix époux esclave femme Ferisha forces fran Fukursir gallivats Geriah glais golfe Persique grabs grand-visir guerre habitans Heyder Heyder-Ali hommes Hussein Hybrain Indes Indous infortunée j'avais j'étais jour l'empereur l'Inde l'Indos l'Indostan Lally larmes Luzine m'avait Madras Maissour maîtresse malheureux Marattes ment mère d'Azeima mille Mirsa Mirsa-Mula mort Mula n'avaient n'était nabads Nadim Nadim-Zaeb Nisam paraissait parens passait passion Patanes Patna patrie pays Perse personne pirates pleix Pondichéri port pouvait presque princes mogols qu'Heyder quitter rendait rendre rival rivière Schas séjour sentimens seul sort souba de Bénarès souba du Bengale tion trône trouvait vais vaisseaux vallée d'Obbola vallée de Dinam yeux Zaeb Zama Zind Zulie
Popular passages
Page 134 - A la tête de ces acquisitions de Dupleix , était l'île célèbre de Scheringhan , formée par deux branches du Caveri. Cette île, vaste et fertile , doit son nom à une pagode fortifiée comme sont, dans l'Indostan , la plupart des grands édifices destinés au culte public. Le temple est entouré de sept enclos quarrés , éloignés les uns des autres de trois cent cinquante pieds, et fermés par des murs qui ont ' une assez grande élévation- et une épaisseur . , *^ proportionnée. L'autel...
Page 147 - Je puisai dans mort cœur les termes les plus tendres et les plas expressifs pour peindre les sentimens de mon âme ; Zama fut insensible. Je connais vos bonnes qualités , Mula , me dit-elle un jour, et je fais cas de votre mérite ; mais je ne puis vous accorder que l'estime que tout le monde vous doit; cherchez à vous guérir d'une passion que je ne partagerai jamais. Ce début ne me rebuta pas ; je me flattais de triompher de la froide Zama par ma persévérance. C'était en vain que je me livrais...
Page 260 - ... secondaient par leur travail la fécondité du sol. Les tisserands, maîtres du prix de leurs ouvrages , libres de choisir l'acheteur qui leur convenait le mieux , s'attachaient à perfectionner et à étendre l'objet de leur commerce : les uns et les autres, tranquilles sur leur subsistance, se livraient...
Page 40 - La ville que nous habitons est remplie de marchands de toutes les parties du monde. Ecrivez à vos parens , et dès que vous aurez reçu leurs ordres , vous serez libre de les exécuter. Ne craignez pas que je profite de l'opulence de votre famille pour exiger de vous une plus forte rançon ; je n'ai pas prétendu acheter le droit de vous vendre en donnant au corsaire l'argent qu'il...
Page 79 - Je passais les journées auprès de Zama, dont les forces commençaient à renaître. J'avais pris son bras pour juger de son pouls, elle retint ma main et la serra long-temps dans les siennes avec un sentiment" si tendre, qu'il retentit jusqu'à mon cœur: j'oubliai Azeima , je m'oubliai moi-même.
Page 173 - Peut-être vous at-il fait le récit de son lâche procédé envers moi : il doit épouser incessamment une femme qu'il me préfère. Je vous ordonne de me venger de ce perfide. Malheureuse que je suis ! je l'ai arraché du sein de la misère , je l'ai comblé de biens : son existence même est un de mes bienfaits ; c'est un serpent que j'ai réchauffé dans mes bras. Percez le cœur de ce monstre , vous obtiendrez le mien, à ce prix ; je vous demande sa tête pour preuve de votre amour pour l'infortunée...
Page 141 - ... méritait le bien qu'on disait de lui dans la ville depuis son arrivée. Elle fut extrêmement surprise lorsqu'elle vit cet .étranger rougir plusieurs fois en la regardant; cependant elle fut satisfaite de sa conversation ; et ne comprenant rien à l'émotion qu'elle avait remarquée dans ce jeune homme , elle l'attribua à sa grande beauté , dont il avait ëlé frappé sans doute.
Page 86 - ... tombeau. Zama, qui s'en aperçut, se reprocha ses lenteurs comme un crime. (Mes équipages furent bientôt prêts. Zama me donna quelques esclaves dont la fidélité lui était connue. Enfin , après avoir reçu ma parole que je reviendrais à Bassora au plus tard dans deux ans, je m'arrachai de ses bras et de ceux de Luzine pour m'embarquer sur un vaisseau portugais qui devait relâcher à Goa, et faire voile ensuite pour la Chine ». Fin de la première partie* " DE LA SECONDE PARTIE. I. fiETDtR-Atr-R...
Page 151 - Zama prononçait ces paroles avec tant d'action, que craignant pour sa vie , j'appelai ses femmes à .son secours , et je me retirai dans •un état affreux. » Témoin des transports de Zama pour mon heureux rival , je voyais assez que jamais je ne viendrais à bout de la faire changer. Cependant je retournai le lendemain chez la maîtresse de mon cœur; je n'oubliai rien pour mettre le calme dans son ame ; je me servis successivement de toutes les armes que le raisonnement peut fournir , mes efforts...
Page 25 - Hey'der pins favorablement (jn'iï '• ne devait t'y attendre. » Quelques jours après mon arrivée chez Zama, cette dame me fit appeler dans son appartement. Je la trouvai sur un canapé de damas des Indes , broché en or. Elle m'ordonna de m'approcher , et me...