Poesia e non poesia

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G. Laterza & figli, 1923 - Literature, Modern - 329 pages

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Page 62 - THE way was long, the wind was cold, The Minstrel was infirm and old; His withered cheek, and tresses gray, Seemed to have known a better day ; The harp, his sole remaining joy, Was carried by an orphan boy.
Page 116 - J'ai marché devant tous, triste et seul dans ma gloire, Et j'ai dit dans mon cœur : " Que vouloir à présent ? " Pour dormir sur un sein mon front est trop pesant, Ma main laisse l'effroi sur la main qu'elle touche, L'orage est dans ma voix, l'éclair est sur ma bouche ; Aussi, loin de m'aimer, voilà qu'ils tremblent tous, Et quand j'ouvre les bras on tombe à mes genoux. O Seigneur•! j'ai vécu puissant et solitaire, Laissez-moi m'endormir du sommeil de la terre!
Page 121 - Le Fils de l'Homme ait dit ce qu'on voit rapporté; Muet, aveugle et sourd au cri des créatures, Si le Ciel nous laissa comme un monde avorté, Le juste opposera le dédain à l'absence Et ne répondra plus que par un froid silence Au silence éternel de la Divinité.
Page 132 - Ma non morrò per te. Che tu sii grande e gloriosa, che m'importa? Anch'io due gran tesori avea, la mia virtude, ed un amico; e tu m'hai tolto entrambi.
Page 131 - Amor tremendo è il mio. Tu noi conosci ancora: oh! tutto ancora non tei mostrai: tu eri mio: secura nel mio gaudio io tacca; né tutta mai questo labbro pudico osato avria dirti l'ebbrezza del mio cor segreto.
Page 76 - Lorenzo! sto spesso sdrajato su la riva del lago de' cinque fonti: mi sento vezzeggiare la faccia e le chiome dai venticelli che alitando sommovono l'erba, e allegrano i fiori, e increspano le limpide acque del lago. Lo credi tu? io delirando deliziosamente mi veggo dinanzi le Ninfe " ignude, saltanti, inghirlandate di rose, e invoco in lor compagnia le Muse e l'Amore; e fuor dei rivi che cascano sonanti e spumosi, vedo uscir sino al petto con le chiome stillanti sparse su le spalle rugiadose, e...
Page 22 - Ma tutto quello che spetta all'anima al fuoco all'affetto all'impeto vero e profondo sia sublime, sia massimamente tenero gli manca affatto. Egli è un poeta veramente dell'orecchio e dell'immaginazione, del cuore in nessun modo...
Page 265 - Eh bien, je me demande si un livre, indépendamment de ce qu'il dit, ne peut pas produire le même effet? Dans la précision des assemblages, la rareté des éléments, le poli de la surface, l'harmonie de l'ensemble n'y at-il pas une vertu intrinsèque, une espèce de force divine, quelque chose d'éternel comme un principe? (Je parle en platonicien.) Ainsi pourquoi y at-il un rapport nécessaire entre le mot juste et le mot musical?
Page 124 - Ta pensée a des bonds comme ceux des gazelles, Mais ne saurait marcher sans guide et sans appui. Le sol meurtrit ses pieds, l'air fatigue ses ailes, Son œil se ferme au jour dès que le jour a lui; Parfois sur les hauts lieux d'un seul élan posée, Troublée au bruit des vents, ta mobile pensée Ne peut seule y veiller sans crainte et sans ennui.
Page 132 - Rivelami il mio cor; ch'io veda almeno In quale abisso son caduto, s'io Fui più stolto, o codardo, o sventurato.

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