| comte Charles de Brosses - 1836 - 520 pages
...en marge : Che sicastri meglio. Il faut être accoutumé à ces voix de castrats pour les goûter. Le timbre en est aussi clair et perçant que celui des enfants de chœur , et beaucoup plus fort; il me paraît qu'ils chantent à l'octave au-dessus de la voix naturelle des femmes.... | |
| Charles de Brosses - Italy - 1858 - 514 pages
...en marge : Che si castrimeglio. Il faut être accoutumé à ces voix de castrats pour les goûter. Le timbre en est aussi. clair et perçant que celui des enfants de chœur, et beaucoup plus fort ; il me paraît qu'ils chantent à l'octave au-dessus de la voix naturelle des femmes.... | |
| Antoine Jules Dumesnil - French - 1865 - 384 pages
...349. ne donnent pas leurs effets pour rien... Il faut être accoutumé à ces voix pour les goûter. Le timbre en est aussi clair et perçant que celui des enfants de chœur et beaucoup plus fort : il me parait qu'ils chantent à l'octave au-dessus de la voix naturelle des femmes.... | |
| Albert Regnard - Opera - 1895 - 190 pages
...ne donnent pas leurs effets pour rien ;... il faut être accoutumé à leur voix pour les goûter... Le timbre en est aussi clair et perçant que celui des enfants de chœur, et beaucoup plus fort. Leursvoix ont presque toujours quelque chose de sec et d'aigre, bien éloigné... | |
| Charles de Brosses - Italy - 1931 - 702 pages
...à ces voix de castrats pour les l. Innocent XI (Benoît Odelcaschl), pape de 1676 à 1689. goûter. Le timbre en est aussi clair et perçant que celui des enfants de chœur, et beaucoup plus fort; il me paraît qu'ils chantent à l'octave au-dessus de la voix naturelle des femmes.... | |
| Chercheurs et curieux - 1864 - 746 pages
...en 1739, dans ses Lettres Familières sur l'Italie, la meilleure analyse de la voix des castrats :« Le timbre en est aussi clair et perçant que celui des enfants de chœur, et beaucoup plus fort Leurs voix ont presque toujours quelque chose de sec et d'aigre, bien éloigné... | |
| Elisabeth Béranger - American literature - 1991 - 190 pages
...Brosses, dont les Lettres familières écrites d'Italie font autorité, jugeait ainsi les castrats : Le timbre en est aussi clair et perçant que celui des enfants de chœur, et beaucoup plus fort. Leurs voix ont presque toujours quelque chose de sec et d'aigre, bien éloigné... | |
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