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en attribuant à cet helléniste de nouvelles éditions d'ouvrages latins et français, qu'ils citent; ces nouvelles éditions sont dues à son fils, M. Paul Longueville, dont elles portent toutes le nom.

BOSCHER, président du tribunal civil de Guingamp (Côtes-du-Nord), membre de la Société des Antiquaires de Normandie, a succombé le... janvier 1855, à une douloureuse maladie. Les journaux de la capitale ont annoncé sa mort sous la date du 15. Il avait publié :

mem

Essai historique et statistique sur Thury-Harcourt; par M. B... bre de la Société des Antiquaires de Normandie. Caen, Chalopin, 1831, in-8 de 82 pag., avec une vue lithographiée du château d'Harcourt.

BRACONNOT (Henri), très célèbre chimiste, connu de l'Europe savante, et pourtant aussi modeste que laborieux, professeur d'histoire naturelle et directeur du Jardin des Plantes de Nancy, correspondant de l'Institut de France, sans l'avoir sollicité, sans même y avoir songé; associé ou correspondant de presque toutes les sociétés; né à Commercy (Meuse), le 29 mai 1781, est mort à Nancy, le 13 janvier 1855, constituant cette ville sa légataire universelle, lui laissant sa fortune et sa bibliothèque, sous la condition d'une rente viagère de 3,000 fr. à sa cousine et de 300 fr. à sa domestique. Braconnot n'a pas publié de livres, mais il a fait imprimer une foule de découvertes dont les journaux ont fait les plus grands éloges et les mieux mérités : elles sont toutes consignées comme utiles à ces sciences, dans le Journal de physique », les « Annales de chimie et de physique », le « Bulletin de pharmacie », le «Journal de chimie médicale» et les « Mémoires de la Société d'Emulation des Vosges ». M. Michel a donné, dans sa «Biographie historique et généalogique des hommes marquants de l'ancienne province de Lorraine... (Nancy, 1829, in-12, p. 64-65), une courte notice sur Braconnot, qui rappelle les principaux mémoires de ce chimiste, et les auteurs de la « Biographie des hommes du jour » en ont donné une autre plus étendue, dans leur tome V, 1re partie, p. 231 et suiv., où l'on trouve la liste complète des mémoires de Braconnot jusqu'au moment de l'impression de la notice qui le concerne.

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VAN DEN BOGAERDE DER TER BRUGGE (le baron J.-A.-J.-L.), ancien membre des Etats Provinciaux de la Flandre orientale, et commissaire dụ district de Saint-Nicolas, sous la domination hollandaise; plus tard, grand officier de la maison du roi (grand échanson du roi de Hollande), conseiller d'Etat, etc., mort près de Bois-le-Duc, le.... janvier 1855. Les journaux de la capitale ont annoncé sa mort sous la date du 18. Le baron Van den Bogaerde a publié :

I. Het Distrikt St Nikolaas, voorheen Land van Waes, provincie OostVlaanderen. Saint-Nicolas, E. Dorey, 1825, 3 vol. in-8.

II. Essai sur l'importance du commerce, de la navigation et de l'industrie, dans les provinces formant le royaume des Pays-Bas, depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1830. La Haye, P. H. Noordendorp, et Bruxelles, Périchon, 1845, 3 vol. in-8.

BERGERON (Pierre), docteur en philosophie et en lettres, chevalier de l'ordre Ernest de Saxe-Cobourg-Gotha, né à Paris, le 3 novembre 1787, est un de ces hommes de mérite, comme M. de Chênedollé et tant d'autres, que la France a perdus par suite de ses commotions politiques, et qui sont allés porter leur instruction en Belgique. M. Bergeron s'est fait naturaliser Belge, et est devenu chez nos voisins, successivement professeur au collège de d'Audenarde, d'humanités à l'Athénée royal de Bruges, de rhétorique au collége de Charleroi, dont il était en même temps principal; il a été en dernier professeur à l'Université libre de Bruxelles. Pierre Bergeron est mort à Bruxelles, le 16 janvier 1855. Nous connaissons de lui les ouvrages suivants : I. Odes d'Anacréon, traduites en vers français. Paris, Miles Souchon et Leblanc; G. Mathiot, 1810, in-12.

II. Heure (l') du supplice, ou les Remords du crime, scène tragi-lyrique, en vers. Bruges, veuve de Moor et fils, 1819, in-8.

Réimprimé, en 1832, dans le n° VI.

III. Comédies (les) de Térence, traduites pour la première fois en vers français, avec le texte en regard. Gand, Houdin, 1821, 3 vol. in-8. Première traduction française complète.

IV. Sur la révolution belge, poëme. Bruxelles, 1830, broch. in-8.
Vendu au profit des blessés de septembre.

V. Mémoire sur les améliorations à introduire dans l'instruction publique, avec un nouveau système d'enseignement. Charleroi, Lelong, 1831, in-8. Ce mémoire fut présenté au commencement de 1828, au roi des PaysBas, qui ordonna de lui en faire un rapport.

VI. Député (le) d'une nation libre, et autres poésies. Bruxelles, H. Remy, 1832, in-8 de 48 pages.

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Cette brochure renferme en partie les pièces fournies par l'auteur au Mercure belge », et qui ont paru sous son nom ou avec les initiales P. B. Ces pièces sont des Fables, les Eloges, en vers, du tabac à priser et du tabac à fumer; l'Heure du supplice, scène lyrique en vers, et un Discours en vers sur les vacances. Les Eloges du tabac avaient déjà été imprimés dans les « Annales belgiques », mai 1821. Le Discours sur les vacances avait été imprimé séparément à Charleroi, chez Lalieu Deltombe, en 1830, in-8. VII. Recueil de Poésies. Bruxelles, 1832, broch. in-8.

Nouvelle édition de l'ouvrage précédent, mais augmentée.

VIII. Précis des antiquités romaines, à l'usage des universités et des colléges. Bruxelles, 1835, in-8.

IX. Deux (les) cousins, ou les Suites de l'éducation, comédie en trois actes et en vers, dédiée à S. A. S. le prince héréditaire de Saxe-CobourgGotha. Bruxelles, Parent, 1839, in-8 de 68 pag.

Action simple, vers très naturels, but moral, telles sont les qualités qui font de cette pièce, remplie d'actualités, une œuvre dont la lecture charme. Cet ouvrage, imprimé aux frais de l'auteur, n'a pas été mis dans le com

merce.

X. Histoire analytique et critique de la littérature romaine, depuis la fondation de Rome, jusqu'au Ve siècle de l'ère vulgaire; ouvrage dédié au roi des Belges. Bruxelles, P.-J. Voglet, 1840, 2 v. in-8 de plus de 1050 pages.

Cet ouvrage contient une courte notice biographique des auteurs, l'anąlyse critique de leurs ouvrages, l'opinion des savants anciens et des mo dernes, celle de l'auteur, l'indication des traductions ou imitations dans les différentes langues de l'Europe, ainsi que des éditions les plus estimées. Cette histoire est en outre enrichie de plus de 4,000 notes.

XI. Fables et autres poésies. Namur, Hambursin, 1845, in-8 de 400 pag. XII. Examen de l'arrêté royal du 22 juin 1848, relatif à la Caisse de prévoyance des instituteurs et professeurs urbains. Inséré dans le no 2 des Publications du comité permanent du Congrès professoral de Belgique. (Tirlemont, 1849, in-8 de 15 pages).

P. Bergeron est encore auteur de plusieurs poemes latins sur les princes de la maison d'Orange, brochures in-8, imprimées en 1827 et 1828, chez Bogaert-Dumortier, à Bruges, savoir: 1o de Guillelmi primi nefanda code; 2o Guillelmus in patriem redux; 30 Guillelmus (a cornu dictus) Arausiensis princeps erigitur; 40 Mauritius princeps ad Neoportum victor; 50 Guillelmi inauguratio; 6o de Ordinibus Guillelmi et Belgici Leonis, avec la traduction en vers français; ces deux derniers poemes ont été imprimés à Charleroi, chez Lalieu-Deltombe, in-8; un Discours de distribution de prix, en vers, inséré dans le « Journal de l'Instruction publique de Belgique ». Parmi les manuscrits qu'il laisse, on cite une tragédie, intitulée Corésus, et une comédie en un acte et en vers, intitulée: le Jeune homme à l'épreuve.

LEPELLETIER D'AUNAY (le baron Louis), né en 1782, fut auditeur au

conseil d'Etat impérial, préfet et baron de l'Empire. Lepelletier d'Aunay resta dans la vie privée pendant la Restauration jusqu'en 1827. Il fut alors élu député pour le département de Seine-et-Oise, à Rambouillet; membre de la fraction Agier, il fut nommé par M. Martignac conseiller d'Etat, il vota l'adresse des 221 de 1830. Après juillet, il fut l'un des trois députés qui refusèrent de décréter la lieutenance générale et qui cependant pretèrent quelques jours après serment à Louis-Philippe. Ami particulier de Royer-Collard, Lepelletier d'Aunay vota contre la proposition Baude, contre les lois de septembre et de disjonction; mais, comme lui aussi, il a voté les lois de famille et l'adresse de 1839, parce qu'après tout M. Lepelletier d'Aunay votait presque constamment selon la volonté du pouvoir. Plus tard, il fut élu vice-président de la chambre. Après le 24 février 1848, le département de Seine-et-Oise le renvoya à l'Assemblée législative. Le baron Lepelletier d'Aunay est mort à Paris, le 16 janvier 1855. Outre ses discours de tribune, on a de lui:

I. Citoyen (le) du monde, traduit de l'anglais, de Goldsmith, par L. P. A., membre de l'Institut historique. Lille, Bronner-Bauwens, 1836, 2 vol. in-8. II. Administration générale de l'assistance publique à Paris. Conseil de surveillance. Rapport de la commission chargée de rechercher l'emploi à faire dans l'économie résultant de la diminution des lits dans les deux hospices de la vieillesse. Commissaires, MM. Albert de Luynes, Riant; Lepelletier d'Aunay, rapporteur. Paris, de l'impr. de Dupont, 1849, in-4 de 4 pag. Autre Rapport, de la commission chargée de proposer un avis sur la demande faite par la Société des crèches à l'effet d'être reconnue institution d'utilité publique. Commissaires, MM. Monod, Riant, et Lepelletier d'Aunay, rapporteur. Paris, de l'impr. du même, 1850, in-4 de 16 pages.

Le baron Lepelletier d'Aunay n'a point d'article dans la Littérature française contemporaine".

GICQUEL DES TOUCHES (P.-G.), capitaine de vaisseau en retraite, membre de la Société de littérature, sciences et arts de Rochefort; mort à Brest, le 17 janvier 1855. Nous connaissons de lui:

I. Tables comparatives des principales dimensions des bâtiments de guerre français et anglais de tous rangs, de leur mâture, gréement, artillerie, etc., d'après les derniers règlements; avec plusieurs autres Tables relatives à un système de mâture proposé comme plus convenable que celui actuel aux bâtiments de guerre français; ouvrage utile aux officiers de la marine. Paris, Bachelier, 1817, in-4.

II. Traité des manœuvres courantes et dormantes, contenant le gréement des bâtiments marchands de différentes espèces de 34 à 15 pieds de largeur. Paris, Simonnet, 1818, in-8.

Gicquel Des Touches a fait insérer dans les « Annales maritimes et coloniales», deuxième partie, les articles suivants : 1° Lettre sur les îles de Tristan d'Acunha, ann. 1818, pp. 431-33; 20 Remarques faites en 1798 sur les îles de Loos ou des Idoles, ann. 1818, pp. 759-775; — 3o Instruction sur la route d'Europe à Rio de la Plata, et sur la navigation de ce fleuve, ann. 1820, pp. 301-346; -4° Lettre de M. Gicquel Des Touches, qui relève plusieurs erreurs commises dans le récit de la bataille de Trafalgar, par l'auteur de l'Histoire du Consulat et de l'Empire », ann. 1847, pp. 423-426.

CHEVRIER-CORCELLES (Marie-Louis-Félix), d'abord conseiller auditeur et substitut du procureur-général près la cour impériale de Lyon, plus tard président du tribunal civil de Bourg, membre du conseil général de l'Ain et de la Société d'émulation du même département. Chevrier-Corcelles a été député de l'Ain dans les dernières années de la Restauration et les premières du Gouvernement de Juillet. Il est né le 29 décembre 1782, à Bourg (Ain), où il est mort le 20 janvier 1855. Nous connaissons de lui:

I. Quelques idées sur le projet de constitution. Lyon, de l'impr. de Kindelem, mai 1815, in-8 de 23 pag.

Cet opuscule signale les imperfections de l'acte additionnel qui fut à cette époque soumis à l'acceptation des Français; il contient quelques vues sur l'éducation et sur la liberté de la presse considérées comme base de l'esprit public. II. Essai sur les abstractions. Bourg, Bottier, 1825, in-8 de 108 pages. Le but de ce petit ouvrage est de ramener la philosophie aux méthodes analytiques fondées sur l'observation: en la considérant sous ce point de vue, l'auteur pense établir son alliance avec les croyances religieuses :'il donne au système de Locke une nouvelle extension et cherche à prouver que non-seulement tout est individuel dans la nature, mais encore que les concepts de notre âme sont tous individuels, que les idées, improprement appelées abstraites, n'ont aucune existence spéciale dans notre esprit, que toute généralité réside uniquement dans le langage. L'auteur tire de cette thèse plusieurs considérations sur la marche, sur les progrès et la décadence des langues en général.

III. Avec A. Puvis: Observations sur les principales questions qui doivent faire partie du Code rural. Bourg, Bottier, et Paris, Mine Huzard. 1836, in-8 de 74 pag.

IV. Rapport à la Société d'émulation de l'Ain, sur le concours concernant l'organisation des classes ouvrières. Bourg, Bottier, 1841, broch. in-8.

FUSS (Paul-Henri), savant mathématicien russe, membre de l'Académie impériale de Saint-Pétersbourg, section de mathématiques (1816), et depuis secrétaire perpétuel de l'Académie (1826), succédant à Nicolas Fuss, son père, qui remplit ces fonctions pendant le premier quart de ce siècle; conseiller d'État, membre du comité administratif de l'Académie et de la commission pour la construction de l'Observatoire central, membre et l'un des secrétaires perpétuels de la Société impériale économique de Saint-Pétersbourg, de la Société minéralogique de cette ville, de la Société impériale des naturalistes et de celle d'économie rurale de Moscou, des Sociétés royales des sciences de Copenhague et d'Upsal, de la Société royale des antiquaires du Nord, de Copenhague, de celle d'encouragement des arts utiles d'Edimbourg, de la Société italienne des sciences de Modène et de l'Académie des sciences et des belles-lettres de Palerme, chevalier des ordres de Saint-Vladimir de la 3e et de Sainte-Anne de la 2e classes, décoré de la couronne impériale, mort à Saint-Pétersbourg, le 22 janvier 1855. Contrairement aux habitudes de toutes les académies de l'Europe, celle de Saint-Pétersbourg n'a point de réception d'apparat; par conséquent, on ne prononce dans son sein ni discours de réceptions, ni d'éloges des membres qui viennent à mourir. Les fonctions du secrétaire perpétuel se réduisent à présenter chaque année un compte rendu des travaux de l'Académie de l'année précédente. Outre les comptes-rendus de M. Fuss, écrits en français, depuis sa nomination jusqu'à sa mort, nous connaissons encore de ce savant, et dans la même langue :

I. Solutions de quelques problèmes, relatifs à la méthode inverse des tangentes. Mémoire de 21 pages, impr. dans le tome X des Mémoires de I'Académie (1826).

II. Correspondance mathématique et physique de quelques célèbres géomètres du XVIIIe siècle, précédée d'uue Notice sur les travaux d'Euler, tant imprimés qu'inédits Saint-Pétersbourg, 1843, 2 vol. in-8.

M. Guill. Libri a rendu compte de cet ouvrage dans le « Journal des Savants », nos de juillet 1844 et janvier 1846.

III. Coup d'œil historique du dernier quart de siècle de l'existence de l'Académie impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. Morceau de 21 pages, impr. dans le Recueil des actes des séances publiques de l'Académie imp. des sciences de Saint-Pétersbourg », ann. 1843.

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Le recueil de l'Académie, dont P.-H. Fuss était le secrétaire perpétuel, renferme aussi de lui plusieurs mémoires écrits en latin.

Paris. Imprimerie spéciale et en commun pour les journaux de DUBUISSON et C•, rue Coq-Héron, 5.

LE QUÉRARD.

JOURNAL

DE BIBLIOGRAPHIE, D'HISTOIRE LITTÉRAIRE ET DE BIOGRAPHIE FRANÇAISES.

LES LETTRES FRANÇAISES EN EUROPE
ET LES HISTORIENS ÉTRANGERS DE LA FRANCE (1).

Aperçu mensuel.

Les livres de provenances étrangères annoncés dans ce Bulletin se trouvent à Paris, aux adresses suivantes :

- Fréd. Klincksieck.

Allemands. A. Franck, r. Richelieu, 67. Fréd. Klincksieck, r. de Lille, 11.
Anglais. Xavier et Stassin, r. de la Banque, 22. A. Franck.
Anglo-Américains. H. Bossange et fils, quai Voltaire, 31 bis.
Belges. Borrani et Droz, r. des Saints-Pères, 9.
Espagnols. Salvà et Garnier, r. des Saints-Pères, 6.
Italiens. Xavier et Stassin.

A. Franck.

Suisses. Joël Cherbuliez, r. de la Monnaie, 10.— Ch. Meyrueis et Cie, r. Tronchet, 2. Grassart, r. de la Paix, 11.

Les prix portés sont ceux des éditeurs étrangers.

I. SCIENCES.
Théologie.

65. ABRÉGÉ DE LA COMMUNION fréquente et quotidienne; par l'abbé Favre, ancien supérieur des Missionnaires. Bruxelles, L. de Wageneer, 1854, in-18 de 252 pages.

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66. BIBLIOTHECA ascetica ex illustrioribus Belgii vitæ spiritualis magistris collecta. Vol Ium. Dionysii Carthusiani a Ryckel opera selecta. Vol. I. De Arctâ vià salutis ac mundi contemptu. Editio nova. Liége, H. Dessain, 1854, in-32 de iv et 226 pages.

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67. CASUS Conscientiæ de mandato olim Eminentissimi S. R. E. Cardinalis Prosperi Lambertini, Bononiæ Archiepiscopi, etc., etc., deindè Sanctissimi D. N. Papæ Benedicti XIV, propositi ac resoluti. Opus confessariis omnibus atque animarum curam gerentibus perutile ac necessarium. Cum indice locupletissimo. Nova editio. Tom. I-IV. Liége, H. Dessain, 1854, 4 vol. in-12.

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Le tome V et dernier paraîtra prochainement. Les deux derniers volumes se vendront séparément.

68. DISSERTATION sur l'immaculée Conception; par le cardinal Lambruschini. Tournay, J. Casterman et fils, 1854, in-18. » 50

69. JUBILE (le) de 1854, et les Enfants de Marie, suivi d'une neuvaine

(1) Pour la librairie, Paris est un centre important, d'où partent le plus fréquemment des expéditions pour les destinations lointaines. MM. les libraires étrangers sentiront donc l'importance de ce Bulletin, et s'empresseront, nous en avons l'espoir, de nous mettre, au plus vite, et franco, au courant des ouvrages qu'ils publient ou qu'ils se proposent de publier.

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