Ferisba joignit ma troupe au moment que nous achevions de traverser le petit bras du Caveri ; nous prîmes tous ensemble le chemin de la ville , marchant avec toute la vitesse' dont nos chevaux étaient capables. Heyder, Azeima, Typoo-zaeb;: histoire orientale, traduite de la langue malabare, - Page 99 1802 Full view -
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