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sonnes; où s'arrêtera-t-on? In Paris gebraucht man meist demoiselle in solchen Fällen.

Les

Gaulois. Etym. La Gaule, lat. Gallia. Cette forme est insolite, attendu que le latin n'a pas gallensis, qui seul aurait pu donner gaulois; quant à au, il paraît résulter de la résolution de la première l en u. peuples romains portent en ancien allemand le nom de walh ou walah; vealh en anglosaxon; wälsch, en allem. moderne, c'est de là que vient wallon; nom d'un pays de langue française voisin de la langue allemande, et sans doute Wales ou pays de Galles en Angleterre. Scheler pense que ces mots représentent Gallus, mot celtique adopté par les Latins. Max Müller, au contraire, regarde walh ou walah comme une appellation donnée par les Germains à leurs voisins les Celtes et l'identifie avec le sanstrit mlechha, barbare, qui parle d'une manière indistincte. Mais, comme le mot walh ou walah ne se trouve qu'au VIIIe siècle, il est probable qu'il représente gallus.

Gaz. Etym Nom créé par van Helmont, et qui paraît formé du flamand geest; allem. geist. Scheler préférerait, sans l'assurer pourtant, le verbe gäschen, bouillir. Auch Weigand ist der letzteren Ansicht.

Gazouiller. Etym. Prov. gazal, bavard; gazalhar, gasar, bavarder. Il y a là un radical gas ou gaz qui paraît être le même que celui de jaser, à cause de la permutation du g en j. Diez, qui fait ce rapprochement, tire le mot du scandinave gassi, bavarois gänseln, gaser comme l'oie. Mais cette dérivation indirecte paraît devoir le céder à une dérivation directe venant du celtique: breton geiz, geid, gazouillement; kymri, gyth, murmure. Schuster-Regnier geben es einfach als Lautnachahmung an.

Génitif. Par une mauvaise imitation de la grammaire latine les grammairiens du XVIIe siècle donnaient, en français, le nom de génitif au rapport marqué par la préposition de. Ich stimme sehr selten mit den franzosischen Grammatikern überein; aber gerade hierin hatten sie nicht ganz unrecht. Ob es im Französischen Casus gibt, ist eine sehr unnütze Frage. Mit demselben Rechte könnte man sagen, dass es in den neueren Sprachen kein Passiv, keine Perfecta gebe etc. Die lateinischen Neutra haben bekanntlich keine besondere Flexionsendung für den Accusativ; hört aber denn darum für sie der Begriff der Sache selbst auf?

Germain. Etym. Lat. Germanus. Les anciens y voyaient le latin germanus, frère; mais cela ne mérite aucune considération, les Romains ne tirant pas les noms des nations barbares de la latinité. On a indiqué une origine allemande: Wehr, défense, ou Heer, armée, et Mann, homme; mais le mot germain a toujours été inconnu à l'Allemagne elle-même; ce n'est pas le nom qu'elle se donnait. Comme les Romains n'ont connu d'abord les Allemands que par les Gaulois, il est très-vraisemblable que le mot Germanus est d'origine celtique; et Mahn en a donné une étymologie très-plausible: kimry, ger, irl. gair, voisin, et man qui se trouve dans plusieurs nom de peuples celtiques, Cenomani etc., et qu'il assimile au kimry maon, peuple: le peuple voisin.

Guère. Etym. On l'a tire de l'allemand gar, anciennement garo, touta-fait. Diez, au contraire, remarquant que les formes guaire, guari, ouère répondent à un double w allemand, propose l'ancien h. allem. wari, qui signifie vrai; guère voudrait dire vraiment, et de vraiment à beaucoup il n'y a pas loin. Cette étymologie, bonne pour la forme, ne l'est pas pour le sens. Aussi Diez lui-même est venu en douter. Son érudition lui a fourni une autre étymologie, ce semble, meilleure. Le moyen h. allem. a unweiger, qui signifie pas beaucoup, et qui suppose un simple weiger, beancoup; ce simple se trouve dans l'ancien h. allem, ne weigarô, non beaucoup. Cette étymologie trouve un grand appui dans l'ancienne forme provençale gaigre.

Guérir. Etym. Picard, garir; Berry, garir, guarir; provenç. garir

guarir, guerir; ital. guarire; du germanique: goth. warjan; anc. h. allem. werjan; allem. mod. wehren, défendre, protéger, ce qui est le sens primitif de guérir. Schuster-Regnier geben noch das lat. curare an. Guillaume. Hier fehlt die weibliche Form Guillemette.

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H. H initiale aspirée se prononce.. „Je n'aime pas les h aspirées cela fait mal à la poitrine, je suis pour l'euphonie; on disait autrefois je hésite, et à présent on dit j'hésite; on est fou d'Henri IV. et non plus de Henri IV." Volt. Lett. Bordes. Cette boutade de Voltaire n'est qu'un caprice individuel, l'aspiration est un son qui se trouve dans les langues les plus harmonieuses. Aujourd'hui, surtout à Paris, beaucoup n'aspirent pas l'h et se contentent de marquer l'hiatus: le éros, la onte; mais dans plusieurs provinces, l'aspiration est très-nettement conservée, et cela vaut mieux.

Haranguer. Etym. Prov., esp. et port. arengar; ital. aringare Weigand verfolgt das Wort weiter: aringare v. dem aus ahd. u. angels. hring (unserm Ring) Kreis, Schauplatz entsprungenen ital. aringo=Rennbahn, Rednerplatz, öffentliche Rede.

=

Hareng. Etym. Picard, héring; provenç. arenc; esp. arenque; ital arinca; de l'anc. h. allem. harinc; all. mod. hering; holl. haring. Mais, bien que les mots romans viennent de l'allemand, l'allemand n'en a pas moins une origine latine, à savoir halec, poisson salé. Weigand sagt dagegen: die Abstammung des Wortes ist dunkel. Der altnord. (mit lat sal verwandte?) Name des Fisches war die sild, schwed. der sill, dan. sild, welchem böhm. sled', poln. sledz' entsprechen.

Harpon. Etym. Voy. Harper (anc. h. allem. harfan, saisir); génev. arpion; esp. arpon; port. arpao; ital. arpignone. Weigand sagt über Harpune: Aus niederl. harpoen, welches aus franz. harpon, v. span. u prov. arpa = Kralle, Haken, urspr. unser Harfe, die hakenförmige Gestalt hat.

Hollande. Etym. Allem. hohl, creux, et Land, terre: Pays-Bas. On a dit aussi que l'étymologie est holt-land, terre boisée, de holt, bois, nom d'une ile où est située Dordrecht, et qui s'étendit au reste du pays. On a dit enfin que cette dénomination venait de helium ou helle, ancien nom de l'embouchure principale de la Meuse.

Honnête. Rem. L'académie met à tort deux n à honnête, puisqu'il n'y n'en a qu'une dans honestus et dans honorer. Dies ist nicht der einzige Fall, wo die Orthographie der Academie unrichtig ist (carrosse, charrier aber chariot, oxyde aber cristal, isocèle statt isoscèle, misanthrope aber philantrope). Ist ja doch das Wort für Orthographie selbst eine falsche Bildung: orthographe statt orthographie, so gut wie das französische die Form calligraphie hat.

Horde. Rem. La Harpe a prétendu que Voltaire avait le premier employé ce mot. On le voit à l'historique usité dès le seizième s ècle (D'Aub. Hist.).

In Beziehung auf die Vollständigkeit des Wörterverzeichnisses lässt Littré nichts zu wünschen übrig. Doch habe ich in einem kleineren Wörterbuche z. B. folgende Wörter gefunden: gapate, galerite, gallioque, géate, géarcin, géhydrophiles,... géique, gélasime, gelasme, die bei Littré nicht stehen; aber allerdings betreffenden Orts (bei Schuster-Regnier) sehr unnützerweise aufgenommen wurden.

Bei dem Werke eines Mannes, den man gewiss den grössten Philologen, überhaupt einen der bedeutendsten Gelehrten Frankreichs nennen kann, wird es nicht unerwünscht sein, schliesslich noch einige biographische Notizen zu geben, welche ich der Gefälligkeit des Verlegers verdanke: Littré est né 1801 à Paris, d'un père bas-normand et d'une mère Lyonnaise, Elevé pour le culte de la vérité recherchée uniquement pour elle-même son père comme le beau-père de celui-ci étaient des républicains zélés -- il n'a jai mais voulu des fonctions publiques. D'abord sécrétaire du comte Daru, l

donna des leçons de latin, et travailla au National dont il eut en 1835 la rédaction pour la partie scientifique à partir de 1831. En médecine Littré fit de profondes études, témoins: le dictionnaire, dit de Nysten, l'édition et la traduction des œuvres de Hippocrate. En philosophie, il a embrassé le positivisme et s'est déclaré le disciple d'Aug. Comte. Cette philosophie a valu à Littré des accusations d'athéisme et de matérialisme, et a fait échouer sa candidature à l'Académie française. Littré est pourtant de l'Institut, mais de l'Académie des Inscriptions. En 1838 il y fut porté par son ami Eug. Burnouf, et nommé grâce à ce que cette classe éclairée de l'Institut ne s'effraya pas de la traduction de Strauss, que Littré venait de faire paraître. Se trouvant attaché a ce moment à la commission de l'histoire littéraire de la France, Littré qui n'avait cultivé jusqu'alors que la philologie du grec et da latin (aussi un peu de Sanscrit par E. Burnouf), se lança dans l'étude du vieux français, à laquelle il a fait faire de si grands progrès dans notre pays par son histoire de la langue française, 2 vol. L'œuvre principale de L. est son dictionnaire. Il le prépare depuis 20 ans, ce monument unique élevé à notre langue, et lui seul était en état de l'entreprendre. On est étonné quand on pense qu'un seul homme a soulevé ce monde de recherches. Mais cet homme unique, en quelque sorte prédestiné à son œuvre, réunissait en lui toutes les qualités indispensables pour la mener à bien: la clarté française, l'intensité allemande, la liberté d'un encyclopédiste et la patience d'un bénédictin. Littré se lève à 10 heures et emploie sa journée à ses travaux de toute espèce. Rentré chez lui, il se met au dictionnaire à 7 heures après dîner et il y travaille jusqu'à 3 heures du matin. A ce régime la santé ne se fortifie pas. Dans sa jeunesse Littré était plein de vigueur, adroit à tous les exercices corporels. Aujourd'hui l'excès du travail intellectuel a réduit cette force; mais l'esprit a gagné en flamme et en finesse, comme le cœur en bonté. Littré est la bonté elle-même, et la vanité, défaut des savants et érudits, lui est tout-a-fait étrangère. A la bonté ajoutons une tolérance qui vient d'un esprit large, ne s'étonnant de rien et s'expliquant chaque chose par sa place et son milieu.

Indem ich nun dies Wörterbuch von Littré allen Lehrern und Lernenden der französischen Sprache aufs dringendste empfehle, schliesse ich diese Anzeige mit dem Wunsche, es möchte, nachdem jetzt durch Littré einerseits and Grimm-Weigand andrerseits die Quelle geschaffen ist, ein deutscher Gelehrter ein grösseres Schulwörterbuch der französischen und deutschen Sprache ausarbeiten, wie es vor 26 Jahren Schuster-Régnier nicht unrühmlich versuchten.

Paris.

K. Schlegel.

Elementargrammatik der englischen Sprache mit stufenweise eingelegten Uebersetzungsaufgaben, Lesestücken und Sprechübungen nebst zwei vollständigen Wörterverzeichnissen von Dr. L. Georg, Hauptlehrer am Realgymnasium zu Basel: Dritte unveränderte Auflage. Leipzig, Veit & Comp. 1866. Je grösser die Zahl der englischen Elementargrammatiken und je schwerer es dabei wird, die richtige Wahl zu treffen, um so mehr glaube ich auf den Dank der weniger orientirten Lehrer zählen zu dürfen, wenn ich sie hier auf das oben angezeigte Lehrbuch nochmals aufmerksam mache.*) Ich babe dasselbe seit mehreren Jahren bei meinem Privatunterricht benutzt

Vgl. Archiv XXXII 1, wo sich eine anerkennende Besprechung der 1. Auflage des Buches von Dr. Meissner befindet.

und kann versichern, dass es die Probe vortrefflich bestanden hat. Da Urtheil, welches ich über das Buch fälle, ist demnach kein bloss theoreti sches, sondern beruht auf pädagogischer Erfahrung, was bei Lehrbücher gewiss das allein Zutreffende und Massgebende sein kann. Ich hatte frübe mehrere andere Grammatiken benutzt, die sich auf den ersten Anschei und bei meiner eigenen Prüfung als recht brauchbar empfahlen; bei lange rem Gebrauche jedoch für die verschiedenen Schüler, die ein Privatlehre zu unterrichten hat, stellte sich immer dieser oder jener Mangel heraus un schliesslich die Nothwendigkeit, mich nach einem andern umzusehen. Da vorliegende jedoch hat sich für Schüler und Schülerinnen jeden Alters be währt, dürfte aber ganz besonders für Real- und Töchterschulen zu empfeh len sein. Es besteht aus zwei Theilen, deren erster ein calculirender Cu sus ist, wahrend der zweite den systematischen Cursus enthält. Voran geh das Allernöthigste über die Aussprache. Da der Verleger gern dazu erboti ist, jedem Lehrer auf Verlangen ein Freiexemplar zur Prüfung zugehen z lassen, so bin ich der Mühe überhoben, das Nähere über die Eintheilung a zugeben, die man leicht aus den vorangeschickten „Bemerkungen über d Methode und den Gebrauch dieses Lehrbuches" ersehen kann. Ich will di her lediglich ein Zeugniss dafür ablegen, dass die Regeln sehr vollständi und leicht fasslich sind und die typographische Einrichtung, alles Wichtig durch Fettdruck hervorzuheben, die Einprägung ins Gedachtniss erleichter und fördert. Die eingelegten englischen Lesestücke sind wirklich recht un terhaltend und mit viel Geschick gewählt, insofern sie sich den jedesmalige vorangegangenen deutschen Uebungsstücken und den darin zur Anwendun kommenden Regeln so passend wie nur möglich anschliessen. Die denselbe beigefügten Sprechübungen sind sehr zweckmässig und bequem für Lehre und Lernende. Die deutschen Uebungsstücke könnten vielleicht etwas la ger sein; das ist aber das einzige, was sie für den Privatunterricht zu wit schen übrig lassen. Für Schulen jedoch dürften sie gerade das richtig Maass einhalten, um so mehr, als für jede Lection deren mehrere beigege ben sind. Die Aussprache in den Wörterverzeichnissen ist mit grosser G nauigkeit durch Ziffern angegeben. Für den Schüler empfiehlt sich das Bue übrigens noch durch die Billigkeit des Preises, die um so höher anzuschl gen ist, als er kein anderes neben ihm benöthigt, sei es Lese-, Gespräch- ode Wörterbuch, und zum Selbstunterricht noch dadurch, dass ein Schlüss dazu vorhanden ist, der zur Vermeidung des Missbrauchs nur Erwachsene verabreicht wird. So wie es mit dem Unterricht in den andern Sprache hier und da bestellt ist, dürfte der letztere Umstand wohl auch manchet Lebrer willkommen sein. Jedenfalls jedoch ist es besser, wenn ein Lehre der sich schwach fühlt, des Schlüssels sich bedient, als dass er, wie ein gewisse Grammatiker es gehalten, den Schülern erst fehlerhaftes Englisch beibring und dann erst von einem Freunde, wie er das in einer seiner neueren Vorrede selbst erzählt, die Fehler in seiner Grammatik berichtigen lässt. Dass and bei Georg Einzelnheiten zu berichtigen sind, will ich nicht verhehlen: fallen aber gegenüber dem Gesammtwerthe und der allgemeinen Genanig keit und Brauchbarkeit des Buches so wenig ins Gewicht, dass sie kam erwähnt zu werden brauchen. Wie übrigens in der kritisch pädagogische Vierteljahrsschrift, bei sonstiger Anerkennung, daran ausgesetzt worden, das die englischen Musterbeispiele nicht zahlreich genug für den Schulgebrauc seien, so muss ich gestehen, dass meine Erfahrung dies nicht bestätigt un meine Schüler die gegebenen Beispiele stets ausreichend fanden, um ihne als Leitfaden bei der Uebersetzung der deutschen Stücke zu dienen, wat rend sie gerade im Gegentheil die längeren Musterstücke im propädeut schen Theil oder in andern früher von mir benutzten Lehrbüchern wenige berücksichtigt haben, oder doch nicht geschickt oder aufmerksam genu waren, sich die Regel aus den Beispielen zu eruiren.

Leipzig.

Dr. David Asher.

Dr. Emil Kade, Professor bei dem königl. sächs. Cadettencorps: Erste Anleitung zum Uebersetzen ins Englische. Altona, Händcke und Lehmkuhl. Zweite, durchgängig verbesserte und vermehrte Auflage.

Obgleich der Titel „Anleitung zum Uebersetzen ins Englische" lautet, ist das Buch zugleich ein methodisches Lehrbuch der englischen Sprache, so dass man bei dem Gebrauch desselben keiner Grammatik weiter bedarf. Es Zerfallt in sechs Abtheilungen und umfasst auf 290 ziemlich grossen Seiten dasjenige, was für die grammatische Kenntniss eines Realschülers dritter bis erster Ordnung wünschenswerth ist. In der ersten Abtheilung der Verfasser sagt „Erstes, zweites u. s. w. Buch) ist die Lehre von der Aussprache, Wortbildung und Schreibung mit vielen englischen Beispielen tthalten. Im zweiten Buche, unter der Ueberschrift „Lehre von den Resetheilen und der Biegung" ist die Formenlehre behandelt; im dritten Buche die Lehre vom einfachen Satze, im vierten der zusammengesetzte Satz, im fünften die Modi, im sechsten und letzten die Lehre vom Infiitiv und Particip.

Mit der Einrichtung verhält es sich so, dass zuerst die grammatische Erläuterung und Regel gegeben wird; dann folgen als Belegstellen englische Satze mit Angabe der Schriftsteller, aus welchen sie entnommen sind; hierauf einzelne deutsche Sätze zur Einübung, und dann zusammenhängende Stücke zum mündlichen und schriftlichen Uebersetzen. Diese ganze Anordnung ist einerseits durchaus einfach und klar gehalten und auch dem Verständniss angerer Schüler gut angepasst, andererseits der Inhalt der Uebungssätze sowohl als auch der zusammenhängenden Stücke mit Geschick gewählt. Dater unterscheidet sich diese Arbeit vortheilhaft von vielen andern englischen Schulbüchern durch gute Anordnung und guten Inhalt des Uebersetzungsstoffes, und eignet sich vortrefflich für den Unterricht auf höheren Lehranstalten. Ueberall in dem Buche zeigt sich der sorgsame Sammelfleiss des Verfassers und daneben ein richtiges Verständniss dessen, was man dem Gedachtniss und dem Fassungsvermögen der erst in die Sprache Einzuführenden zumuthen darf. Unter den längeren Stücken zum Uebersetzen finden ich namentlich Gespräche und Briefe; es ist die Absicht des Verfassers gewesen, daneben kleine historische, geographische und litterarische Aufsätze zu geben, durch welche der Lernende zunächst in den Wortvorrath des allaglichen Lebens und zugleich in eine gewisse Bekanntschaft mit englischem Leben, Sitten und Verhältnissen der Engländer eingeführt würde. Ich nenne unter solchen Stücken S. 92: die englischen Königshäuser; S. 137: der Tunnel; S. 115: Shakespeare; S. 123: London; S. 219: Milton; S. 234: Ein Abriss von Byron's Charakter, nach Macaulay; S. 242: Warum lernen wir fremde Sprachen? und anderes. Die dazu nöthigen Vocabeln und Wendungen sind theils in den Text verflochten (was möglichst zu vermeiden ist), theils den Uebungen nachgestellt, das letztere regelmässig von S. 121 an.

Bei der im Ganzen nur geringen Zeit, welche der Lehrer in den meisten Fallen auf specielle Einübung der Grammatik, besonders in den mittleren und höheren Classen verwenden kann, ist es erwünscht, in dem Buche des Prof. Kade gewisse Partien, welche einer besondern Einübung bedürfen,*in einer Weise behandelt zu finden, die, auch wenn man nicht das Buch von Abschnitt zu Abschnitt durchnimmt, gestattet, Einzelnes auszuwählen und nach Umständen zu verwerthen. Hervorzuheben ist darunter z. B. S. 72: The Conditional Pluperfect of the Defective Verbs (he could, might etc. have seen, er hätte sehen können) und S. 73: Ergänzung der defectiven Verba, wobei man S. 258 vergleichen mag; some und any S. 99 - Adverbien ohne die Endung ly S. 116 Pronominaladverbien S. 131.

Fer

ner im dritten Buch S. 142 über den Gebrauch des Artikels und S. 144

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