Perrin's Fables; adapted to the Hamiltonian system, by a literal tr., by J. Hamilton |
Common terms and phrases
able Adieu amis âne animal answered arrive avez behold belles bois brebis chat chien chose cœur condition coups demanda dispute dit-il donner enfans êtes FABLE faisait Frère friends gens good great grenouille have head himself homme insecte instant j'ai jour juge Jupiter know l'autre lion little long-temps loup made maître make manger manquerai master merit mieux mille monde morceau n'pas oreilles other parler passer pauvre père personne petit petits philosophe place porte pouvait premier proie race raison renard render répliqua répondit rester rien rusé said sais says sera serve seul singe sort souris souvent take tête them they thing thou time trouver upon venir vieux voici voilà voisin voulez voyages vrai will wolf your
Popular passages
Page 59 - Qui que vous soyez, par le bruit que vous faites, vous devez avoir plus de chair qu'une poule ; c'est un repas très ordinaire ; j'en ai tant mangé que j'en suis dégoûté depuis long-temps ; vous me dédommagerez des mauvais repas que j'ai faits : par ma foi, je vous trouve très
Page 59 - LE RENARD DUPÉ. UN renard affamé aperçut une poule qui ramassait des vers au pied d'un arbre : il allait se jeter sur elle, quand il entendit le bruit d'un tambour suspendu à l'arbre, et que les branches, agitées par la violence du vent, faisaient mouvoir. Oh ! oh ! dit maître renard, levant la tête ! Êtes-vous là ! Je suis à vous
Page 53 - L'AIGLE ET LE HIBOU. L'AIGLE et le hibou, après avoir fait long-temps la guerre, convinrent d'une paix ; les articles préliminaires avaient été préalablement signés par des ambassadeurs ; l'article le plus essentiel était, que le premier ne mangerait pas les petits de l'autre. Les connaissez-vous ? demanda le hibou. Non, répondit l'aigle.—Tant
Page 22 - la pie : Ah ! ah ! s'écria-t-il, c'est donc toi qui me dérobes mon trésor ! tu ne saurais le nier ; je te prends sur le fait ; coquine, tu mourras. Doucement, doucement, mon cher maître, n'allez pas si vite : je me sers de votre argent, comme vous vous en servez vous-même : s'il faut que je
Page 15 - chêne, ne comptez pas trop sur les caresses de chaque zéphyr inconstant. Le froid peut revenir. Pour moi, je ne suis pas pressé de pousser des feuilles ; j'attends que la chaleur soit constante.—II avait raison. Une gelée détruisit les beautés naissantes du sycomore. Eh bien! dit l'autre, n'avais-je pas raison de ne me pas presser ? Ne comptez
Page 13 - voulut épouvanter aussi ; mais le bon homme apercevant quelque chose de long aux deux côtés de la tête de l'animal, lui dit : Maître baudet, quoique vous soyez vêtu comme un lion, vos oreilles vous trahissent, et montrent que vous n'êtes réellement qu'un âne.
Page 53 - dit-il, n'appartiennent pas à notre ami ; croquons-les : aussitôt il se mit à en faire un bon repas. L'aigle n'avait pas tort. Le hibou avait fait une fausse peinture de ses petits : ils n'en avaient pas le moindre trait. Les parens devraient éviter avec soin
Page 75 - vont.—Monsieur, dit le renard, nous sommes vos trèshumbles et très-obéissans serviteurs : de grâce, quel est votre nom ? Le cheval, qui n'était pas sot, leur répondit : Lisez mon nom, messieurs, vous le pouvez : mon cordonnier l'a mis sous mon talon. Le renard s'excusa : je ne sais pas lire, dit-il, mes parens ne
Page 28 - Les sots découvrent toujours leur stupidité. Pourquoi êtesvous si sévère? demanda le lionceau. Notre sénat m'a toujours admiré. Que ton orgueil est mal fondé, répondit le père ; sache que les lions méprisent ce que les ânes admirent. FABLE L. L'ENFANT ET LE PAPILLON. UN enfant, se promenant dans un jardin, aperçut
Page 13 - Je vous prie, rejetez-moi dans l'eau ; il ya un grand nombre de gros poissons qui feront mieux votre affaire. Petit ami, répliqua le pêcheur, vous avez beau prier, vous serez frit dès ce soir. Ce que l'on a vaut mieux que ce que l'on espère. FABLE XVIII. LES OREILLES DU LIÈVRE.