Œuvres complètes de Voltaire, Volume 1; Volume 86la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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Adieu affez affure afile ainfi Amphion Apollon auffi aurait avez beaux Berlin bon fens c'eft c'eſt Catilina chofes Cicéron confédérés conferver confolation Correfp crois DIEU difait digne dire DURO efprit envoie épître eſpèce eſt êtes faffe fage faibleffe fainte fais fans doute fanté faurez favez favoir fe trouve FÉDÉRIC fefait felon femble fens fentiment fera Ferney fervir feul fiècle fociété fœur foient foit fommes font fottifes fouhaite fous fouvent fuiffe fuis fujet fuperftition furtout génie gloire goût guerre Henriade héros homme j'ai j'en jamais Jouiffez jufqu'à jufte l'efprit l'Europe l'impératrice de Ruffie laiffer LETTRE long-temps lorfque Louis XIV madame du Châtelet Majefté Majeſté Maupertuis miniftre monde Moustapha n'ai n'eft n'eſt ouvrages paffer paffions paix parler penfe penſe perfonne philofophe plaifir poëme poëte poffible Pologne Potſdam préfent prefque prince puiffe raifon refpect refte s'eft Sans-fouci Sire ſon ſur talens tion Velches Voilà VOLTAIRE
Popular passages
Page 176 - ... plus grands torts envers moi. Votre conduite n'eût été tolérée par aucun philosophe. Je vous ai tout pardonné, et même je veux tout oublier. Mais, si vous n'aviez pas eu...
Page 172 - Bréda, et je ne poserai les armes qu'après avoir fait encore trois campagnes. Ces polissons verront qu'ils ont abusé de mes bonnes dispositions, et nous ne signerons la paix, que le roi d'Angleterre à Paris, et moi à Vienne. Mandez cette nouvelle à votre petit duc, il en pourra faire une gentille épigramme.
Page 88 - Je vous conjure de soupçonner au moins que du haut rang où vous êtes, vous ne pouvez guère voir quelle est l'opinion des hommes, quel est l'esprit du temps. Comme roi on ne vous le dit pas; comme philosophe et comme grand homme vous ne voyez que les exemples des grands hommes de l'antiquité.
Page 48 - J'aurai l'honneur d'être purgé De la main royale et chérie Qu'on vit , bravant le préjugé , Saigner l'Autriche et la Hongrie. Grand prince, je vous remercie Des salutaires petits grains Qu'avec des vers un peu malins Me départ votre courtoisie.
Page 17 - Je peins en grand le bouleversement de l'Europe; je me suis appliqué à crayonner les ridicules et les contradictions que l'on peut remarquer dans la conduite de ceux qui la gouvernent. J'ai rendu le précis des négociations les plus importantes, des faits de guerre les plus remarquables, et j'ai...
Page 200 - La scène qui s'est passée à Abbeville * est tragique : mais n'y at-il pas de la faute de ceux qui ont été punis ? faut-il heurter de front des préjugés que le temps a consacrés dans l'esprit des peuples?
Page 385 - ... a toujours été d'étonner la terre. Je ne fais pas quand vous vous arrêterez; mais je fais que l'aigle de Pruffe va bien loin.
Page 303 - Nous ne lui érigeons qu'une statue, faible dédommagement de toutes les persécutions que l'envie lui a suscitées, mais récompense capable d'échauffer la jeunesse et de l'encourager à s'élever dans la carrière que ce grand génie a parcourue, et où d'autres génies peuvent trouver encore à glaner. J'ai aimé dès mon enfance les arts, les lettres et les sciences ; et lorsque je puis contribuer à leurs progrès, je m'y...
Page 342 - Il paraît cependant qu'il ferait plus digne de ma chère alliée de donner la paix à l'Europe que d'allumer un embrafement général.
Page 358 - J'avais fait autrefois tout ce que je pouvais pour croire que nous étions libres, mais j'ai bien peur d'être détrompé; vouloir ce qu'on veut, parce qu'on le veut, me paraît une prérogative royale à laquelle les chétifs mortels ne doivent pas prétendre.