Oeuvres complètes, Volume 1Furne, 1837 |
Contents
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Common terms and phrases
ALCIMNE ames amphictyonique Athènes Athéniens auroit avoient avoit bientôt bonheur Carthage cause CHAPITRE chose citoyens cœur connoissance connoître Cyrop Cyrus d'Athènes d'Hippias Darius devoit Dieu DIOD émigrés étoient étoit Évandre factions général génie Génie du Christianisme gouvernement Grèce guerre médique HEROD HERODOT Hippias Hist hommes ibid îles j'ai j'avois j'étois jacobins JAMBL jours l'antiquité l'Égypte l'Essai l'histoire l'homme l'Ionie LAERT lecteur législateur liberté livre lois lumières Lycurgue malheurs ment mille Miltiade mœurs monarchie monde morale mort n'étoient n'étoit nations opinions ouvrage paroît passé patrie pays Perse peuple philosophe Pisistrate Pisistratides Pitt PLUT poète politique POLYB pouvoit premier prince principes Pythagore religion république reste révo révolution françoise révolution républicaine rois Rousseau Sacontala sanscrit sauvages Scythes sentiments seroit seul siècle société Solon Sparte STRAB Suisse sujet système terre Thrace THUCYD tion trouve tyrans vérité vertu vices vIII XENOPH Xerxès Zoroastre
Popular passages
Page 167 - Tremblez, tyrans, et vous perfides, L'opprobre de tous les partis ; Tremble'z vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent nos jeunes héros, La terre en produit de nouveaux Contre vous tout prêts à se battre!
Page 79 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 166 - Allons enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé! (bis) Entendez-vous dans les "campagnes Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans nos bras Egorger nos fils, nos compagnes Aux armes citoyens! Formez vos bataillons! Marchons! Marchons! Qu'un sang impur, Abreuve nos sillons!
Page 144 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours; Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire.
Page 16 - Je n'ai point cédé, j'en conviens, à de grandes lumières surnaturelles : ma conviction est sortie du cœur; j'ai pleuré et j'ai cru.
Page 258 - La mort, mon fils, est un bien pour tous les hommes; elle est la nuit de ce jour inquiet qu'on appelle la vie. C'est dans le sommeil de la mort que reposent pour jamais les maladies, les douleurs, les chagrins, les craintes, qui agitent sans cesse les malheureux vivants.
Page 166 - Français! pour nous, ah! quel outrage! Quels transports il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage! Aux armes...
Page 143 - Une foule de publicistes et de législateurs parurent tout à coup dans la Grèce et donnèrent le signal d'une révolution générale. Ainsi les Locke, les Montesquieu , les JJ Rousseau , en se levant en Europe, appelèrent les peuples modernes à la liberté. Jetons d'abord un Coup d'œil sur les beauxarts '. CHAPITRE XXII.
Page 28 - Ah ! si la morale la plus pure et le cœur le plus tendre, si une vie passée à combattre l'erreur et à soulager les maux des hommes, sont les attributs de la divinité, qui peut nier celle de Jésus-Christ...
Page 149 - Heureux ! qui près de toi, pour toi seule soupire : Qui jouit du plaisir de t'entendre parler: Qui te voit quelquefois doucement lui sourire.