... j'allais me jeter seul dans un bateau que je conduisais au milieu du lac, quand l'eau était calme; et là, m'étendant tout de mon long dans le bateau , les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau,... Œuvres - Page 296by Jean-Jacques Rousseau - 1827Full view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - Authors, French - 1782 - 594 pages
...confufes, mais délicieufes, & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler du foleil de l'heure de la retraite , je me trouvois... | |
| Rousseau - 1782 - 448 pages
...confufes , mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler du foleil de l'heure de la retraite , je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 446 pages
...confufes , mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni conftant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baiffer du foleil de l'heure de la retraite , je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 434 pages
...confufes , mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler du foleil de l'heure de la retraite , je, me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 522 pages
...délicieufes , & qui, fans Qv Les Rêveries. avoir aucun objet bien déterminé ni confiant } ne laifloient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux à ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le bai(Ter du foleil de l'heure de la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 340 pages
...confufes, mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiflbient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avoïs trouvé d&plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler... | |
| Jean-Jacques Rousseau - Philosophy of nature - 1783 - 420 pages
...maisdéticieufes , & qui , fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant , ne laiiToient pas d'être h mon gré cent fois préférables à tout ce que, j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler du fokil, de l'heure de la retraite , je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau, René Just Haüy - Botany - 1802 - 354 pages
...m'étendant tout de mon long dans le bateau , les yeux tournés vers Je ciel , je me laissais aller dériver lentement au gré de l'eau , quelquefois pendant plusieurs...avoir aucun objet bien déterminé ni constant , ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...m'etendant tout de mon long dans le bateau les yeux tournés vers le ciel, je me laissois aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries contuses, mais délicieuse«; et que sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant ne laiasoient... | |
| Archibald Alison - Aesthetics - 1812 - 442 pages
...constant, ne laissoient " pas d'etre a mon gr6 cent fois preferables a. tout ce " que j'avois trouv6 de plus doux dans ce qu'on appelle " les plaisirs de la vie. " —Quand le soir approchoit, je descendois, des " cimes de 1'isle, et j'allois volontiers m'asseoir... | |
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