France: annales historiques, Volume 1 |
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Abbayes armée armes avaient avoit barons bataille bientôt Blois Bour Bourbon bourgeois Bretagne cardinal Catherine de Médicis catholiques cent Charles IX Charles VIII château chef cheval Coligny comte comte de Foix connétable couronne dauphin devant Dieu donna duc de Bourgogne duc de Guise duché Édouard Édouard IV enfin ennemis étoit évêques féodalité fille fils Flandre florins Foix force Fran François Ier frère Gaule Gaulois gentilshommes gneur Henri Henri III Henri IV hommes huguenots Hugues Jean jour l'armée l'autorité royale l'empereur l'Espagne l'évêque l'Italie laissa ligue livres Lorraine Louis XI Louis XII main maison Mayenne Médicis mée ment Milanais mille mort n'avait Navarre Normandie paix pape Paroisses passa Pepin peuple Philippe porte prince de Condé protestants provinces reine rent reste réuni au domaine Revenu Richelieu rois royaume de Naples s'était saint Louis seigneurs seul siècle siége sire soldats Suisses taxe tion Toulouse traité troupes trouva vicomte villes vint
Popular passages
Page 345 - Eclate par soi-même, et moi par ma grandeur. Si du côté des dieux je cherche l'avantage, Ronsard est leur mignon et je suis leur image. Ta lyre, qui ravit par de si doux accords, Te soumet les esprits dont je n'ai que les corps ; Elle t'en rend le maître, et te fait introduire Où le plus fier tyran n'a jamais eu d'empire ; Elle amollit les cœurs et soumet la beauté : Je puis donner la mort, toi l'immortalité.
Page 34 - ... fond de la vallée, tuèrent, après un combat opiniâtre, tous les hommes jusqu'au dernier, pillèrent les bagages , et , protégés par les ombres de la nuit , qui déjà s'épaississaient , s'éparpillèrent en divers lieux avec une extrême célérité. » Les Basques avaient pour eux, dans cet engagement, la légèreté de leurs armes et l'avantage de leur position.
Page 408 - Bonnes « nouvelles, mes amis! bonnes nouvelles! Le tyran est « mort : il n'ya plus de Henri de Valois en France.
Page 373 - J'ai communiqué, dit-il au roi, le commandement de Votre Majesté à ses fidèles habitants et gens de guerre de la garnison, je n'y ai trouvé que bons citoyens et braves soldats, mais pas un bourreau...
Page 378 - Les cendres des brûlés sont précieuses graines, Qui , après les hivers noirs d'orage et de pleurs, Ouvrent, au doux printemps, d'un million de fleurs Le baume salutaire, et sont nouvelles plantes, Au milieu des parvis de Sion florissantes.
Page 315 - Pauvres gens et misérables, peuples insensés, nations opiniâtres en votre mal, et aveugles en votre bien, vous vous laissez emporter devant vous le plus beau et le plus clair de votre revenu, piller vos champs, voler vos maisons, et les dépouiller des meubles anciens et paternels ! Vous vivez de sorte que vous pouvez dire que rien n'est à vous; et semblerait que meshuy ce vous serait grand heur, de tenir à moitié...
Page 432 - ... je l'ai tirée de la servitude et de la ruine. Je désire maintenant la remettre en sa première force et en son ancienne splendeur. Participez, mes sujets, à cette seconde gloire, comme vous avez participé à la première.
Page 370 - L'amiral de Coligny et les seigneurs protestants s'y rendent pour assister à ces noces et pour conférer de la guerre des PaysBas. La reine de Navarre meurt, peut-être empoisonnée : «Reine, n'ayant de femme que le sexe, «l'âme entière aux choses viriles, l'esprit puissant «aux affaires, le cœur invincible aux adversités.
Page 423 - notre maître est un ladre vert, et le plus ingrat » mortel qu'il y ait sur la face de la terre.
Page 420 - Par l'autre voie, qui est de vous accommoder, touchant la religion, à la volonté du plus grand nombre de vos sujets, vous ne rencontrerez pas tant d'ennuis, peines et difficultés en ce monde (mais, pour l'autre, lui dîtes-vous en riant, je ne vous en réponds pas...