Origine et transformations de l'homme et des autres êtres: 1. pte. indiquant la transformation des êtres organisés, la formation des espèces, les conditions qui produisent les types, l'instinct et les facultés intellectuelles, la base des sciences naturelles, historiques, politiques, etc, Volume 1 |
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Common terms and phrases
2º édition analogues animaux Anthologie grecque aptitudes assez avons Bactriane Berbères Boïens caractères cause civilisation climat considère Contes d'été continent crétinisme Croatie croisements d'autres d'Omalius Darwin dégénérescence degré développement différents distinctes duit effet Égypte émigrants époque espèces facultés faune fixité de l'espèce Flourens formation des espèces formation géologique formes général générations géo géologiques globe Gratiolet grations groupe habitants influence intelli Khanikof l'action des milieux l'action du sol l'Afrique l'autorisation de l'auteur l'espèce mère l'homme lement lois loppement mation ment mer Caspienne Méroé modifications montre nature du sol nègres Nigritie nord nouvelle espèce OEuvres complètes paléontologie pays pèce peuples populations Pourtant principes produit progression races rains reconnaître régions remarques résultat résulte révolte des Cipayes science Ségala serait seul siluriens singe Soudan terrains anciens terrains primitifs terrains récents tertiaires tion traduit de l'anglais trans transformation trouve type blanc type moyen type propre variétés végétaux vend séparément voyons
Popular passages
Page 481 - Mémoires complets et authentiques sur le siècle de Louis XIV et la Régence, collationnés sur le manuscrit original par M.
Page 178 - Au reste, lorsque je soutiens que les bancs pierreux « contiennent les os de plusieurs genres, et les couches « meubles, ceux de plusieurs espèces qui n'existent plus, «je ne prétends pas qu'il ait fallu une création nou...
Page 41 - La confirmation d'un fait général déjà plusieurs fois signalé dit-il, que le degré de domestication des animaux est proportionnel au degré de civilisation des peuples qui les possèdent.
Page 45 - Félix d'Azara nous peint les Abipones du Chaco comme se rapprochant du type européen, et offrant de beaux traits , un nez à peu près aquilin , des formes assez bien dessinées, en même temps qu'une nuance plus claire que la généralité des autres Pampéens. Parmi ceux-ci se distinguent les Patagons , nomades équestres des Pampas et des plaines arides, la plupart de haute stature, aux membres robustes , annonçant par leur physionomie un courage farouche, une indépendance...
Page 296 - Le tendon qui le meut, aboutissant à un muscle distinct, va-t-il leur permettre de se mouvoir plus librement ? Loin de là : ce tendon s'anéantit, et la force du pouce disparaît; il ne se perfectionne pas, il se dégrade; à peine ces longs doigts crochus peuvent-ils, en se recourbant, toucher un à un à l'extrémité unguéale du pouce. L'ongle qui les termine est court, difforme, inflexible; c'est déjà une griffe. Il serait difficile d'imaginer un organe plus mal adapté à l'exercice du...
Page 364 - L'empreinte de chaque espèce est un type dont les principaux traits sont gravés en caractères ineffaçables et permanents à jamais; mais toutes les touches accessoires varient, aucun individu ne ressemble parfaitement à un autre, aucune espèce n'existe sans un grand nombre de variétés...
Page 127 - ... travers les formes qui ont vécu antérieurement. Ce que les recherches géologiques n'ont pu nous révéler encore, c'est l'existence de nombreux degrés de transition, aussi serrés que nos variétés actuelles, et reliant entre elles toutes les espèces connues: telle est la plus importante des objections qu'on puisse élever contre ma théorie...
Page 305 - ... perd dans les replis synoviaux des tendons fléchisseurs des autres doigts, et il n'aboutit à aucun faisceau musculaire; le pouce s'affaiblit donc d'une manière notable dans ces grands singes. Chez aucun d'eux, il n'ya aucune trace de ce grand muscle indépendant qui meut le pouce dans l'homme. Et, loin de se perfectionner, ce doigt si caractéristique de la main humaine semble, chez les plus élevés de ces singes, les orangs, tendre à un anéantissement complet.
Page 206 - Naudin, toutes ces faibles espèces, énumérées sous le nom de races et de variétés, comme des formes dérivées d'un premier type spécifique et ayant par conséquent une origine commune. Je vais plus loin. Les espèces même les mieux caractérisées sont pour moi autant de formes secondaires relativement à un type plus ancien qui les contenait toutes 'virtuellement comme elles-mêmes contiennent toutes les 'variétés auxquelles elles donnent naissance sous nos yeux lorsque nous les soumettons...
Page 292 - Les premiers sont des animaux-odorat; on pourrait dire que les singes sont déjà des animaux-lumière. L'homme, dans les traits généraux de son organisation cérébrale, se rapproche complètement des singes. Le cerveau, se prolongeant en arrière, recouvre complètement le cervelet et le dépasse dans beaucoup de cas. Les lobes olfactifs sont rudimentaires et bien plus réduits encore que chez les singes. Le ventricule latéral a aussi une corne postérieure, un peu moins large, il est vrai,...