Mémoires et correspondance de Duplessis-Mornay: Vie de MornayTreuttel et Würtz, 1824 - France |
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Common terms and phrases
aduis affaires ainsy aisné amys arriua auant auec luy aulcune aultres aulx auoient auoir auoit esté auoit faict aussy ayse Buhy c'estoit catholicques ceste ceulx chacung cheual compaignie d'vne d'vng debuoit declara depesches deputez deuant dict seigneur dict sieur Dieu diuerses doncq duc de Mayenne Duplessis eglizes enuoya escrit estant estoient estoit estre eulx eust faict faisoit feist feurent feust feut cause filz foys gouuerneur grace grant Henri IV l'armee l'aultre l'Eglize l'estat l'vng lesquelz liure luy auoit luy feit madame madame la presidente madamoyselle maison majesté mareschal mariaige mauuais Mayenne memoyres mesmes monseigneur Mornay moys n'auoit neantmoins negotiation nouuelle oultre particulierement plessis poinct pouuoit pres prince prouinces qu'ilz quattre quoy receu relligion rezoleut Rochepot roy de Nauarre royne Sainct Saumur Sedan seroit seruice soubs souuent tost tousjours toutesfoys traicté tres Trimouille trouppes trouuer troys veint verité Villeroy vngz voulleut voulloit voyaige
Popular passages
Page xiv - Ci-gît qui, âgé de soixante et treize ans, après en avoir employé sans reproche quarante six au service de deux grands rois, fut contraint, pour avoir fait son devoir, de chercher son sépulcre hors de sa patrie. Juge, lecteur, et déplore soit son malheur, soit la malice du siècle.
Page ix - Plessis, j'ai un extrême déplaisir de l'outrage que vous avez reçu, auquel je participe comme roi et comme votre ami. 'Pour le premier, je vous en ferai justice et à moi aussi. Si je ne portois que le second titre, vous n'en avez nul de qui l'épée fût plus prête à dégainer, ni qui y portât sa vie plus gaiement que moi.
Page 367 - Saumur, et la douceur dont on ya procédé ôte l'occasion à quelque huguenot que ce soit, de dire que rien y ait eu force que la vérité.
Page iv - Dites, mon cousin, à ceux qui vous mettent telles choses en avant, que la religion, s'ils ont jamais su que c'est, ne se dépouille pas comme une chemise ; car elle est au cœur, et grâces à Dieu, si avant imprimée au mien, qu'il est aussi peu à moi de m'en départir, comme il était au commencement d'y entrer, étant cette grâce de Dieu seul et non d'ailleurs.
Page 490 - Désormais toutes nos lignes partaient de ce centre et s'y rencontraient, et nous voyions qu'en lui Dieu nous arrachait tout ; sans doute pour nous arracher ensemble du monde, pour n'y tenir plus à rien, à quelque heure qu'il nous appelle, et entre ci et là, estimer son...
Page 26 - IlétoitnéàVitteauxprèsdeDijon en i5i8. Ayant embrassé la religion protestante, il se retira en Allemagne, où il eut une grande liaison avec Mélanchton , et où il fit fortune. Il fut envoyé, à deux reprises différentes , par des princes d'Allemagne , près de Charles ix. La seconde fois, il étoit venu le complimenter sur son mariage avec Isabelle d'Autriche , et il se trouvoit encore à Paris le a4 août 1572, époque de la Saint-Barthélemy.
Page 369 - Lomenie ; les propos en somme feurent, qu'il ne s'affligeast poinct, et s'asseurast qu'il seroit tousjours son maistre et son amy : il respondit : De maistre, je ne m'en suis que trop apperceu ; d'amy , il ne m'appartient pas ; j'en ai veu qui ont entrepris sur la vie, l'honneur et Testât du roy, sur son lict mesmes; contre...
Page 3 - Mais afin encore que vous n'y ayez point faute de guide, en voici un que je vous baille par la main, et de ma propre main, pour vous accompagner; c'est l'exemple de votre père que je vous adjure d'avoir toujours devant les yeux...
Page 492 - ... descrire nostre pérégrination en ceste vie, et puisqu'il a pieu à Dieu, il a eu plus tost et plus doulcement fini la sienne; aussy bien, si je ne craignois l'affliction de M.