Correspondance littéraire, philosophique et critique de Grimm et de Diderot, depuis 1753 jusqu'en 1790, Volume 6Furne, 1829 - Encyclopedists |
Other editions - View all
Common terms and phrases
assez aurait auteur beau Bélisaire Bletterie Bossu brochure célèbre chant charmant chose cœur Comédie Italienne conte d'Alembert Danemarck Dauphin Diderot dire donner Dorat écrit enfans esprit femme Ferney fille frère Fréron Galiani génie goût grace Grétry Grimm homme honnête Huron imprimer intitulé j'ai jamais jeune jouer jour l'abbé Trublet l'Académie l'ame l'Amour l'auteur l'esprit l'Opéra lettres lire long-temps Lorraine Lucile madame d'Origny mademoiselle mademoiselle Clairon maison de Lorraine Majesté mariage Marmontel ment menuet mérite messieurs mille livres mœurs Moissy monde Monsieur Monsigny morceaux mort Moukden musique nation Note de Grimm opéra comique ouvrage Palissot parler parterre passé patriarche père personne Philidor philosophe pièce poëme poète Poinsinet Première représentation prince public qu'un raison reste réussi rien rôle Rousseau Rulhière s'est saint Saint-Lambert sait scène secret Sedaine sent sera seul sort style succès sujet Tacite théâtre Théâtre Italien tion traducteur traduction tragédie trouve Trublet vient Voilà Voltaire volumes voyage
Popular passages
Page 475 - Dictionnaire historique des cultes religieux établis dans le monde, depuis son origine jusqu'à présent; trois volumes in-8° avec figures.
Page 206 - ... lana Tarentino violas imitata veneno. Ac ne forte putes me, quae facere ipse recusem, cum recte tractent alii, laudare maligne, ille per extentum funem mihi posse videtur 210 ire poeta, meum qui pectus inaniter angit, irritat, mulcet, falsis terroribus implet, ut magus, et, modo me Thebis, modo ponit Athenis.
Page 315 - Mère Geoffrin fait savoir qu'elle renouvelle les défenses et lois prohibitives des années précédentes, et qu'il ne sera pas plus permis que par le passé de parler chez elle ni d'affaires intérieures ni d'affaires extérieures, ni d'affaires de la cour ni d'affaires de la ville, ni d'affaires du Nord ni d'affaires du Midi, ni d'affaires d'Orient ni...
Page 171 - Consume" de douleurs vers la fin de leur cours, II voit dans le tombeau ses amis disparaître, Et les êtres qu'il aime arrachés à son être. Il voit autour de lui tout périr...
Page 468 - J'apprends, monsieur, qu'on a formé le projet d'élever une statue à M. de Voltaire, et qu'on permet à tous ceux qui sont connus par quelque ouvrage imprimé de concourir à cette entreprise. J'ai payé assez cher le droit d'être admis à cet honneur pour oser y prétendre, et je vous supplie de vouloir bien interposer vos bons offices pour me faire inscrire au nombre des souscrivants.
Page 361 - Il est vrai, je suis capucin; C'est sur quoi mon salut se fonde : Je ne veux pas, dans mon déclin, Finir comme les gens du monde. Mon malheur est de n'avoir plus Dans mes nuits ces bonnes fortunes. Ces nobles grâces des élus, Chez mes confrères si communes.
Page 334 - J'ai vu de Beaumarchais le drame ridicule, Et je vais en un mot vous dire ce que c'est ; C'est un change où l'argent circule Sans produire aucun intérêt. 11 faut que M. de Beaumarchais ait beaucoup de torts , car il n'a point d'amis ; un homme mit sur l'affiche , le jour de la première représentation des Deux Amis : Par un auteur qui n'en a aucun.
Page 407 - Se mourait, lui, de ne pas être. Ainsi l'homme, jouet de sa folle pensée, Court après le plaisir, n'atteint que la douleur Sous son vêtement déguisée, Et dans son ardeur insensée, Perd le fruit pour cueillir la fleur. Y êtes-vous enfin? — Non. — La chose est étrange! Et vous avez de l'esprit comme un ange! Et votre bourse est pleine d'or! M'entendez-vous? — Non, pas encor. Mais j'ai tout dit. — II est vrai, c'est .... En effet, or et ange font orange.
Page 61 - Rigoureux au dernier point Sur la virgule et le point, La syllabe brève et longue, Sur le tiret contigu, Sur l'accent grave et l'aigu, La voyelle et la consomne.
Page 142 - ... on a cru lire dans ses regards, comme nous osons lire dans les vôtres, que la rigueur dont il était obligé d'user coûtait à son âme bienfaisante. Nous ne craignons pas de vous assurer, monsieur, que l'espérance renaîtra encore dans le cœur des Français quand ils verront les princes du sang royal prendre le noble emploi d'être les intercesseurs de la nation auprès de son souverain.