Il téfulte de tout cela que vous êtes difficile à amufer , & que je fuis mauvais plaifant. Mais enfin , en baillant & en riant , vous voilà mon confrère , & il faut tout oublier en bons chrétiens Se en bons académiciens. Souvenirs d'un citoyen - Page 188by Jean-Henri-Samuel Formey - 1789 - 396 pagesFull view - About this book
 | Voltaire - Land titles - 1766 - 234 pages
...adverfaire en lui faifant entendre qu'il le loue avec plaUit & qu'il lui pardonne cordialement. confrere, & il faut tout oublier en bons Chrétiens & en bons Académiciens. Je fuis fort content, Mon (leur , de votre harangue, & très reconnoiflant de la bonté que vous avez... | |
 | Voltaire - 1768 - 302 pages
...que vous êtes difficile à amufër, & que je fuis mauvais plaidant : mais enfin en bâillant & en riant, vous voilà mon Confrère; & il faut tout oublier en bons. Chrétiens & en bons Académiciens. Je fuis fort content de votre haran'Jbîéianges de Littérature. , &'très-reconna5flant de la bonté... | |
 | Pierre Antoine de La Place - Europe - 1788 - 544 pages
...je fuis un mauvais plaifant. Mais enfin , en bâillant &. en rianf, vous voilà mon cher confrère j & il faut tout oublier , en bons Chrétiens & en bons Académiciens Je fuis, au furplus, fort content, Monfieur , de votre harangue , & très-reconnoiflant de la bonté... | |
 | Pierre Antoine de La Place - Europe - 1788 - 430 pages
...que je fuis un mauvais plaifant. Mais enfin, en baillant & en riant, vous voilà. mon cher .confrere; & il faut tout oublier, en bons Chrétiens & en bons Académiciens. Je fuis, au furplus, fort content t Monfieur, de votre harangue, & très-reconnoiflànt de la bonté... | |
 | Voltaire - 1792 - 526 pages
...que vous êtes difficile à amufer , & que je fuis mauvais plaifant. Mais enfin , en baillant & en riant , vous voilà mon confrère , & il faut tout oublier en bons chrétiens Se en bons académiciens. Je fuis fort content, monfieur , de votre harangue, & très-reconnaifTant... | |
 | Voltaire - 1768 - 564 pages
...vous êtes difficile à amufèr, ' l* & que je fuis mauvais plaifant j mais enfin , en bâillant & en riant, vous voilà mon confrère, & il faut tout oublier en bons chrétiens & en bons académiciens. Je fuis fort content , Monfieur , de votre harangue , & trèsreconnaifîant de la bonté que vous avez... | |
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