 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 372 pages
...plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa...mettait sur le flanc comme un lion ennuyé, et rêvait ipparemment de sang et de forêts. (Id., ibid., p. 170-171.) Souvenir funèbre. Presque toutes les... | |
 | Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Angers - Angers (France) - 1919 - 550 pages
...plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. lie senturent de sa liberté ne paraissait être en lui que la conscience de la force de sa main et...bâillait comme un lion, se mettait sur le flanc comme tin lion ennuyé, et rêvait apparemment de sang et de forêts (1). Ces pages superbes ne contiennent... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1921 - 462 pages
...plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être 'en lui que la conscience de la force de sa...ennuyé, et rêvait apparemment de sang et de forêts. SOUVENIR FUNEBRE Presque toutes les personnes dont j'ai parlé dans ces Mémoires ont disparu : c'est... | |
 | G. Lenotre - 1923 - 458 pages
...tremblait sur ses dents serrées ; ses poignets rugueux étaient tailladés de coups de sabre ; « il ne parlait pas plus qu'un lion ; il se grattait comme un lion ; bâillait comme un lion ennuyé ; se mettait sur le flanc comme un lion et rêvait apparemment de sang et de forêt ». Eh... | |
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H. 12 n'être en lui que la conscience de la force de sa main et de l'intrépidité de son cœur. Il ne parlait pas plus qu'un lion; il se grattait comme un lion, bâillait comme un lion, se mettait sur le flanc comme un lion ennuyé, et rêvait apparemment... 
