| Émile Faguet - French literature - 1911 - 336 pages
...continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suffisaient à me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre...peine de penser. De temps à autre naissait quelque courte et faible réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde dont la surface des eaux m'uJl'rait... | |
| Ludovic Dugas - Personality - 1911 - 246 pages
...renflé pai' intervalles, frappant sans relâche mon oreille et nies yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi et suffisaient pour me faire sentir mon existence sans prendre la peine de penser ».Il se produit aussi d'une façon brusque ou lenle... | |
| Gustave Charlier - French literature - 1912 - 440 pages
...et mes yeux, suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi, et suftisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. » En forçant quelque peu la portée de ces lignes, on arrive aisément à faire de Jean-Jacques «... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1913 - 330 pages
...renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient...et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde, dont la surface des eaux m'offrait l'image ; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient... | |
| George-Lespinasse Fonsegrive - 1913 - 68 pages
...par intervalles, frappant sans relâche mes oreilles et mes yeux, suppléaient aux mouvements intimes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient...plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. » C'est un état « où l'âme trouve une assiette assez solide pour s'y reposer tout entière, et... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French language - 1914 - 80 pages
...et mes yeux, suppléoient aux mouvements internes que la rêverie étetgnoit en moi, et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce 'monde, dont la surface... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 538 pages
...renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient...et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde, dont la surface des eaux m'offrait l'image; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient... | |
| François Mentré - Intellect - 1920 - 314 pages
...Rêveries du promeneur solitaire : « Le flux et le reflux de l'eau... suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient...plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser ('). » Pourtant Rousseau raisonne et même abuse du raisonnement : tels de ses ouvrages comme la Lettre... | |
| François Mentré - Intellect - 1920 - 308 pages
...Rêveries du promeneur solitaire : « Le flux et le reflux de l'eau... suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient...plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser ('). » Pourtant Rousseau raisonne et même abuse du raisonnement : tels de ses ouvrages comme la Lettre... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 244 pages
...renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient...avec plaisir mon existence, sans prendre la peine ,0 de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des... | |
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